« J’espère que quelqu’un voudra me conseiller à l’avenir, même si je ne pense pas être un aussi bon entraîneur que vous le pensez. J’ai agi uniquement selon mon instinct »

« J’espère que quelqu’un voudra me conseiller à l’avenir, même si je ne pense pas être un aussi bon entraîneur que vous le pensez. J’ai agi uniquement selon mon instinct »
« J’espère que quelqu’un voudra me conseiller à l’avenir, même si je ne pense pas être un aussi bon entraîneur que vous le pensez. J’ai agi uniquement selon mon instinct »

Quand la France mène 6–4, 4–2, l’Europe est au bord du gouffre.

Depuis quelques changements de côté, Dimitrov a pris les choses en main, bien accompagné par Daniil qui parle russe à Sascha.

Ce soutien et ses précieux conseils changent la donne, Zverev rentre dans sa bulle et avance enfin sur le court comme Grigor le lui a conseillé. C’est à ce moment précis que se joue la Laver Cup.

En conférence de presse, le Bulgare revient sur ce moment et sur son rôle d’entraîneur.

«J’espère que quelqu’un voudra des conseils à l’avenir, même si je ne pense pas que je serai un aussi bon entraîneur que vous le pensez. J’ai agi uniquement à l’instinct, en fonction de ce que j’ai vu sur le terrain. Je pense que cela a aussi beaucoup à voir avec l’émotion, l’adrénaline. Bien sûr, il y a toujours le risque de donner de mauvais conseils, et c’est pourquoi j’ai parlé plusieurs fois avec Daniil de ce que nous devrions dire. Cela m’a même fait douter de moi-même pendant une seconde. Je pense que tout le monde a été très réceptif aux informations que les autres joueurs leur ont données, j’ai vraiment aimé ça.

Publié le lundi 23 septembre 2024 à 10h42

 
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