Pour sa dernière chronique jeux vidéo de l’année, Miguelle-Éloïse Lachance a évoqué 2 jeux qui ont été primés lors de la 10e cérémonie des Game Awards, animée par le Canadien Geoff Keighley, qui a eu lieu le 12 décembre à Los Angeles.
Le jeu Astro Bot, développé par le studio Team Asobi et édité par Sony sur PlayStation 5, a remporté le prix du jeu de l’année.
En revanche, le jeu qui a particulièrement retenu l’attention du chroniqueur est Balatro, un jeu indépendant créé par LocalThunk, un Saskatchewanais qui préfère garder l’anonymat.
Il a remporté trois prix, dont celui du jeu mobile de l’année, du meilleur jeu indépendant et du meilleur premier jeu d’un studio indépendant.
LocalThunk espérait vendre seulement quelques exemplaires puis reprendre son métier d’informaticien, mais le jeu a atteint le cap des 3,5 millions d’exemplaires vendus en moins d’un an.
Dans ce jeu, il faut former des mains de poker pour gagner un certain nombre de jetons.
Vous disposez d’un nombre limité de mains que vous pouvez jouer pour atteindre l’objectif, ainsi que d’un nombre limité de fois où vous pouvez défausser des cartes pour en piocher de nouvelles. Le nombre de jetons à gagner augmente à chaque tour.
Nous gagnons de l’argent virtuel avec lequel nous pouvons acheter différents types de cartes pour nous aider à atteindre ces objectifs de plus en plus élevés.
Il y a notamment les jokers, cartes emblématiques du jeu. Balatro signifie aussi bouffon, clown ou bouffon en latin.
Pour remporter le plus de tours possible, vous devez entre autres choisir des jokers qui présentent une certaine synergie.
- / Miguelle-Éloïse Lachance
Les jokers ont des effets différents, par exemple, ils peuvent donner des jetons supplémentaires pour chaque carte à pique jouée, nous permettre d’avoir plus de cartes en main ou nous donner de l’argent supplémentaire lorsque nous remplissons certaines conditions.
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