Google veut rester le maître de l’intelligence artificielle (IA) générative qu’il développe depuis de nombreuses années à Zurich. Cette semaine, il a lancé Gemini 2.0 pour les abonnés « Avancés », dont je fais partie. Il a également rendu Deep Research disponible. Forcément, on a commencé à tester tout ça !
Commençons par le Gemini 2.0, plus précisément « Flash expérimental » qui est déjà disponible en Suisse en complément d’autres modèles traditionnels. La rapidité de cette nouvelle version est impressionnante et facilite une utilisation intensive pour des tâches générales.
Utilisation intensive de Gemini 2.0
En réalisant diverses vidéos en fin de semaine dernière, j’ai beaucoup utilisé ce service pour résoudre des problèmes et/ou me former sur le logiciel de montage CapCut développé par l’éditeur TikTok. Les résultats ont tout simplement été impressionnants dans cette utilisation.
Une telle vitesse révolutionnera notre façon de travailler, puisque nous pourrons nous entraîner constamment à une vitesse fulgurante. En effet, ces nouvelles IA sont capables de rechercher des aides en ligne et de nous proposer des solutions à la vitesse de l’éclair.
Google Deep Research ne convainc pas
Même si Google Deep Research n’est pas encore disponible en Suisse, nous n’avons pas hésité à faire le nécessaire pour lancer de premières recherches en utilisant le modèle Gemini 1.5 Pro Deep Research, accessible uniquement depuis les Etats-Unis avec un compte « Advanced ».
Grosse surprise, cette fois-ci, nous devons parfois attendre de longues minutes pour obtenir les réponses à nos questions. Malheureusement, ce modèle semble encore pour le moins expérimental. Même s’il examine et synthétise des dizaines de pages internet, les résultats sont souvent faux, comme je l’ai observé, tout comme un étudiant de l’EPFL…
Xavier Studer
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