Une écoute plus consensuelle, mais peu d’évolutions majeures – .

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Une écoute plus consensuelle, mais peu d’évolutions majeures – .

Ordres

Pour piloter le Minor IV, il n’y a pas de zones de glissement ou de glissement à effectuer. Il suffit d’appuyer sur le logo M blanc pour déclencher les actions requises.

Sans être ultra précise, la zone est suffisamment large et sensible pour être comprise dans la plupart des cas, d’autant qu’à chaque fois, un léger retour sonore confirme l’action. Bien que les commandes soient assez complètes, la personnalisation reste limitée. En effet, seul l’appui long est paramétrable. Notez enfin que la détection de port est présente et peut être désactivée si besoin, tout comme l’ensemble des commandes.

Application

Il était temps ! A l’instar du casque Major V, sorti en même temps, le Minor IV est enfin compatible avec l’application Marshall, ce qui n’était pas le cas du Major IV et du Minor III.

Le principal attrait de cette compatibilité est l’accès à un égaliseur à cinq bandes, ainsi qu’à des préréglages d’écoute enregistrés. Sinon, c’est assez spartiate en termes de fonctionnalités réellement utiles.

Connectivité

Autre nouveauté, Marshall met son casque dans l’air du temps puisque le contrôleur Bluetooth 5.3 du Minor IV est compatible avec la transmission Bluetooth LE Audio, et donc à terme avec le codec LC3, en plus de l’AAC et du SBC. Curieusement, le Minor III supportait l’AptX, un codec ici absent, ce qui n’est pas le cas de la connexion multipoint et du Google Fast Pair.

En revanche, la latence est particulièrement élevée, notre mesure étant de 260 ms. Lors de l’utilisation jeule lag est donc remarquable. Et contrairement aux Huawei FreeBuds 6i, qui sont dans la même gamme de prix, les Minor IV ne proposent pas de mode faible latence.

 
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