Précédemment sur MacGénération : si vous avez raté le premier article, il parle de mémoire flash et de produits Apple. Nous avons expliqué le principe de la mémoire flash et donné différents exemples de son utilisation par Apple. L’entreprise a véritablement commencé à s’intéresser à ce type de stockage avec l’iPod nano en 2005, puis un SSD a été proposé en option dès le premier MacBook Air en 2008. Apple a ensuite développé des formats physiques propriétaires, sous forme de barrettes, tout en conservant une architecture assez classique, qui a permis la création d’adaptateurs. Parallèlement, dans les appareils iOS, Apple a choisi une manière spécifique d’intégrer la mémoire pour économiser de l’espace sur les cartes mères. Dans cette deuxième partie, nous nous concentrerons sur un point d’inflexion : le moment où Apple a conçu une architecture maison pour interfacer la mémoire flash.
L’heure des SSD propriétaires
Il est maintenant temps de revenir à la mise en œuvre de la mémoire flash. Dans une configuration classique, cas de tout ce que nous avons évoqué jusqu’à présent, un SSD est composé d’au moins deux choses, avec une organisation précise. Il existe une mémoire flash qui est connectée par un bus dédié (type Toggle) à un contrôleur. Ce volet prendra d’une part…