A la radio, Michael Pachen remplace Audrey (Tipik), malade, par une co-animatrice générée par l’Intelligence Artificielle

A la radio, Michael Pachen remplace Audrey (Tipik), malade, par une co-animatrice générée par l’Intelligence Artificielle
A la radio, Michael Pachen remplace Audrey (Tipik), malade, par une co-animatrice générée par l’Intelligence Artificielle

L’expérience l’a intrigué. “Je suis très intéressé par l’intelligence artificielle depuis un certain temps. J’ai déjà utilisé pas mal d’outils, mais pas celui-ci. Cela m’a dérangé. Je ne m’attendais pas à ce qu’il soit aussi efficace et authentique dans les interactions. Parce qu’elle répond aux questions et qu’elle les pose aussi. Cela m’a autant fasciné que flippé.

Cependant, l’IA a ses limites. “L’échange a été surprenant mais dans la restitution de la voix, on entend que c’est robotique. Nous sentons qu’il n’y a pas de spontanéité et pas d’âme contrairement à l’être humain. Mais quand on écoute, on a vraiment l’impression de parler à un être humain. On arrive encore à oublier qu’il s’agit d’une série d’algorithmes.

Cette pratique pourrait-elle à terme nuire au métier d’animateur ? Les médias doivent-ils s’inquiéter ? Selon Michael Pachen, nous devrions plutôt considérer l’IA comme un avantage. “Ce sont des outils que nous devons utiliser pour gagner en productivité et en efficacité. Ils ont de toute façon besoin d’être manipulés par des êtres humains et n’ont pas la spontanéité d’un véritable animateur de télévision. Ce ne sont pas des êtres humains, même si on peut penser le contraire en leur parlant.», déclare le présentateur convaincu que d’ici peu chacun devra savoir maîtriser l’IA dans sa vie professionnelle sous peine d’être mis à l’écart.

 
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