Une montre iconique des années 80 retrouve une seconde vie avec modernité et technicité

Une montre iconique des années 80 retrouve une seconde vie avec modernité et technicité
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Fidèle à l’originale, la silhouette de la quadra est désormais rehaussée par une lunette et un boîtier en céramique high-tech. Ce n’est pas seulement le matériau de prédilection de Rado, mais aussi celui que ses ingénieurs ont réussi à développer bien avant les autres marques, en 1986. Ce n’est que quatorze ans plus tard que Chanel rend célèbre la céramique high-tech en forgeant le luxe cool de l’emblématique J12. Rendons à Rado ce qui appartient à Rado ! Sa quête d’innovation technologique s’est toujours accompagnée d’une exploration stylistique, dont la nouvelle version de l’Anatom incarne l’épisode le plus récent. D’autre part, les contours incurvés et carrés de ce garde-temps étaient déjà des éléments clés de l’identité Rado dans les années 1960. L’histoire d’amour entre la marque et les montres de forme (lire, autre que ronde) a en effet commencé avec la Manhattan, en 1967, et s’est poursuivie jusqu’à aujourd’hui avec des modèles nommés Glissière, DiaStar Executive, V2200 ou True Square.

Le revival Anatom bénéficie bien entendu de plusieurs évolutions esthétiques et techniques. Le diamètre du boîtier est passé de 28 à 32,5 mm ; l’ancien décor doublé du cadran a disparu au profit d’une surface satinée, polie et laquée ; le bracelet en métal est devenu un bracelet en caoutchouc avec un style intégré très similaire, en plus de douceur et de confort. Typique des années 80, le mouvement à quartz a été remplacé par un calibre mécanique à remontage automatique haute performance, le R766, doté d’une confortable réserve de marche de 72 heures et d’une excellente résistance au magnétisme, grâce à la présence d’un spiral. à Nivachron. Cependant, c’est la « carte des couleurs » hypnotique de la collection qui attire et retient le regard. Conçus pour capter la lumière, les cadrans arborent trois dégradés vibrants : cognac flamboyant, vert profond ou bleu royal. Limitée à 40 pièces, la version Jubilee brille dans un noir intégral emprunté à l’Anatom 1983. Onze diamants taille baguette lui servent d’index pour l’éclairer encore davantage et justifier un prix qui culmine à plus de 11 000 euros.

La création d’une montre belle à regarder et agréable à porter, la fusion de la durabilité et du design contemporain, et la recherche de l’harmonie entre esthétique et innovation restent le credo absolu de Rado. L’Anatom rassemble tout cela et se révèle ainsi être l’une des références du « maître des matériaux » reflétant le mieux son savoir-faire et sa philosophie. A qui est-il destiné ? Réponse du PDG Adrian Bosshard : « À quelqu’un d’indépendant qui veut se démarquer ».

 
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