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Le Colorado se prépare à l’arrivée de Sidney Crosby

L’échange envoyant Mikko Rantanen en Caroline et Martin Necas au Colorado (et Taylor Hall en Caroline) ouvre déjà la porte à un autre échange monstre.

C’est le coup de tonnerre de la décennie dans la LNH !

Cette décision laisse entrevoir une opportunité qui pourrait bouleverser la ligue, et selon Paul Bissonnette du podcast Spittin Chiclets, le Colorado est désormais prêt à tout pour faire venir Sidney Crosby.

Avec le départ de Rantanen, l’Avalanche libère de l’espace salarial et se positionne pour récupérer le mentor et ami de Nathan MacKinnon, Sidney Crosby.

Bissonnette dit que le Colorado serait « très, très bien placé » pour réussir cette décision magistrale. Le rêve de réunir les deux Néo-Écossais sur un même trio pourrait donner une nouvelle dimension à l’attaque de l’Avalanche et relancer les ambitions de conquête de la Coupe Stanley.

Depuis des années, MacKinnon et Crosby entretiennent une relation privilégiée, s’entraînant ensemble chaque été.

Cette alchimie naturelle, combinée à la présence de talents comme Cale Makar, ferait du Colorado une destination parfaite pour Crosby, lui donnant une dernière chance de soulever la Coupe Stanley.

Du côté de Pittsburgh, la situation est chaotique. Les Penguins, qui semblaient avoir une direction claire sous la direction de Kyle Dubas, sont désormais en pleine crise.

Les défaites s’accumulent. La pression est immense sur l’entraîneur Mike Sullivan, dont l’avenir semble incertain.

Dubas a parié sur un noyau vieillissant en refusant de reconstruire et en s’accrochant à des piliers comme Evgeni Malkin et Kris Letang.

Mais aujourd’hui, l’équipe semble épuisée et incapable de rivaliser avec les meilleures équipes de la ligue. Les critiques affluent et la patience des supporters s’effrite.

Les rumeurs d’un échange avec Sidney Crosby continuent de prendre de l’ampleur. Pour plusieurs observateurs, le moment est venu pour les Penguins de tourner la page et d’entamer une reconstruction en profondeur.

Paul Bissonnette est convaincu que l’Avalanche a maintenant les moyens et la motivation pour réaliser une transaction historique.

Si Crosby rejoint le Colorado, cela marquerait la fin d’une époque à Pittsburgh. Une équipe qui a dominé la LNH pendant près de deux décennies, remportant trois coupes Stanley sous la direction de son légendaire capitaine.

Pourtant, la décision de tourner la page serait douloureuse, mais nécessaire pour préparer l’avenir.

Pour le Colorado, l’ajout de Crosby serait la touche finale à une équipe déjà formidable. Avec une brigade défensive dirigée par Makar et un MacKinnon toujours dominant, l’Avalanche deviendrait instantanément favori pour la Coupe Stanley.

De plus, Crosby apporterait son expérience, son leadership et son talent inégalé dans les moments cruciaux.

Le scénario parfait pour Crosby ? Jouer encore quelques saisons à haut niveau dans un environnement compétitif, tout en retrouvant un vieil ami et en visant un dernier triomphe.

Malgré un enthousiasme généralisé, plusieurs obstacles subsistent. Premièrement, le contrat de Crosby représente un défi financier, et l’Avalanche devra faire preuve de créativité pour maintenir son salaire sous le plafond salarial, même après avoir économisé de l’argent dans l’échange de Rantanen.

Ensuite, la question émotionnelle est grande : Pittsburgh acceptera-t-il vraiment de laisser partir son joueur emblématique sans résistance intense ?

Après tout, Dubas jure que Crosby est intouchable.

Enfin, d’autres équipes pourraient également tenter leur chance pour attirer Crosby, notamment les Rangers de New York et les Kings de Los Angeles, qui disposent de ressources financières importantes et d’un attrait indéniable.

Si cette transaction MONSTER devait se concrétiser, elle resterait dans l’histoire comme l’une des plus importantes de la décennie.

Pour le Colorado, ce serait un pari ambitieux et passionnant. Pour Pittsburgh, cela marquerait le début d’une nouvelle ère.

La LNH est en pleine tourmente et le sort de Sidney Crosby est peut-être sur le point de changer pour toujours.

Les médias du Colorado sont convaincus que l’Avalanche n’aurait pas échangé Mikko Rantanen s’il n’avait pas déjà conclu un autre accord.

Ensuite, le directeur général des Penguins, Kyle Dubas, peut promettre à tout le monde que Crosby ne sera pas échangé, mais tout le monde sait que Crosby accepterait demain matin d’aller au Colorado pour rejoindre Nathan MacKinnon et avoir ensuite la chance de remporter la Coupe Stanley.

Paul Bissonnette est très, très connecté, c’est un joueur, il est très proche des joueurs, il ne parle pas pour rien, et ça a été sa première réaction après la transaction monstre de Rantanen en Caroline et Necas au Colorado et Hall à Chicago.

Sa première réaction face à Bissonnette a été la suivante : « ça va arriver, Crosby va au Colorado ».

Les rumeurs entourant un éventuel échange avec Sidney Crosby continuent de s’intensifier alors que la pression monte à Pittsburgh.

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Avec l’Avalanche pouvant libérer de la place sur sa masse salariale et la relation étroite entre MacKinnon et Crosby, il est difficile d’imaginer un scénario dans lequel Crosby ne serait pas tenté par un déménagement au Colorado.

L’héritage de Crosby à Pittsburgh est indéniable, mais les réalités de la LNH obligent parfois à prendre des décisions difficiles.

Si Dubas continue d’ignorer les signes avant-coureurs, la pression des partisans et de la direction pourrait le forcer à envisager une reconstruction radicale, avec Crosby comme principale monnaie d’échange.

Pour l’instant, tout dépend de la capacité du Colorado à convaincre les Penguins que l’avenir réside dans une reconstruction et que Crosby a besoin d’une dernière chance de briller sur la grande scène.

Tout est possible.

Une amitié incroyable

Lorsque Sidney Crosby et Nathan MacKinnon se rencontrent sur la glace, leur amitié passe au second plan. Ces deux natifs de Cole Harbour, en Nouvelle-Écosse, partagent bien plus qu’un simple lieu de naissance : ils sont unis par une compétition féroce et un respect mutuel qui les pousse à donner le meilleur d’eux-mêmes.

Imaginez s’ils se retrouvaient dans la même équipe.

Pendant l’intersaison, les deux joueurs retournent dans leur ville natale pour s’entraîner ensemble, mais jamais dans la même équipe. Crosby en noir, MacKinnon en bleu, chacun déterminé à surpasser l’autre.

“C’est comme ça que ça marche” Crosby explique avec un sourire entendu.

Cette rivalité amicale est ce qui les pousse à exceller, Crosby admettant que le talent et la vitesse de MacKinnon l’obligent à rester au sommet de son art.

Leur relation a commencé bien avant que MacKinnon ne devienne l’une des plus grandes stars de la LNH. Dès son plus jeune âge, MacKinnon idolâtrait Crosby, même si Crosby avait déjà entendu parler de ce jeune prodige de Cole Harbour.

L’admiration mutuelle s’est transformée en grande amitié lorsque MacKinnon a commencé à s’entraîner avec le même spécialiste, Andy O’Brien.

“Je l’ai rencontré grâce à Andy et nous avons commencé à nous entraîner ensemble”, Crosby se souvient.

Aujourd’hui, des bannières honorant les deux joueurs ornent Cole Harbour Place, la patinoire locale où ces deux talents exceptionnels ont émergé.

L’entraîneur des Penguins, Mike Sullivan, est impressionné par cette rare coïncidence :

«C’est unique. Trouver une autre ville qui a produit deux joueurs de ce calibre est difficile. Ce sont des talents générationnels, chacun ayant respectivement laissé sa marque dans son équipe.

Il n’y a aucun doute sur l’impact de Crosby sur MacKinnon. En tant que senior, Crosby a servi de mentor à MacKinnon, l’aidant à élever son jeu et inspirant son approche professionnelle du hockey.

Mais la relation n’est pas unilatérale : MacKinnon pousse également Crosby à maintenir un niveau d’excellence constant.

Les deux joueurs auront bientôt l’occasion de mettre de côté leur rivalité pour unir leurs forces sous les couleurs d’Équipe Canada lors du Tournoi des 4 Nations.

Avec un autre compatriote d’Halifax, Brad Marchand, ils formeront une formidable combinaison. «J’adorerais être sur son aile», a déclaré MacKinnon avec enthousiasme.

“Je pense que nous jouerions bien ensemble.”

La dernière fois qu’ils ont partagé la même équipe, c’était au Championnat du monde de hockey à Prague en 2015, un tournoi où ils ont eu un avant-goût de leur formidable compatibilité sur la glace.

La compétition entre Crosby et MacKinnon n’est pas seulement une question de rivalité, mais aussi de respect mutuel et de désir de s’améliorer chaque jour.

Sullivan, connaissant bien les personnalités des deux hommes, n’est pas surpris par leur concurrence constante, même à l’extérieur de la LNH :

“Ils ont tous les deux cette soif insatiable d’exceller.”

Avec leur amour du jeu, leur discipline et leur désir incessant de s’améliorer, Sidney Crosby et Nathan MacKinnon sont plus que de simples amis : ils sont la preuve vivante que la compétition peut engendrer les plus grandes amitiés.

La prochaine étape pour eux est de remporter la Coupe Stanley ensemble, au Colorado.

La porte s’ouvre.

 
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