Rajeunir grâce à Didier Raoult ? Découvrez sa surprenante reconversion

Célèbre pour avoir défendu l’usage controversé de l’hydroxychloroquine lors de la pandémie de Covid-19, Didier Raoult réalise une étonnante transition professionnelle.

Interdit d’exercer la médecine pour deux ans à compter de février 2025, suite à une décision de l’Ordre des médecins, l’ancien directeur de l’IHU Méditerranée se tourne désormais vers le secteur de la cosmétologie de luxe.

Une crème de jour et de nuit vendue 75 euros les 60 ml

l’entrepreneuse Nina Basri, le professeur marseillais a cofondé Magnifiscience, une start-up spécialisée dans les produits anti-âge.

Située sur la prestigieuse place Vendôme à Paris, cette jeune entreprise propose des soins destinés à ralentir les signes visibles de l’âge. Les premiers produits commercialisés, notamment une crème de jour et de nuit vendue 75 euros les 60 ml, promettent de stimuler la régénération cutanée tout en protégeant la peau contre les agressions extérieures.

Une transition inattendue

Didier Raoult n’en est pas à ses premières expérimentations dans le domaine. Selon ses déclarations, ses travaux sur l’acné menés à l’IHU lui auraient permis de collaborer avec une entreprise de cosmétologie.

Dans sa vidéo publiée sur sa chaîne YouTube, il explique : « C’est une alliance entre une approche scientifique très basique et une approche pratique très fonctionnelle qui a donné naissance à cette nouvelle petite start-up. »

Un changement radical

Cette reconversion marque un virage radical pour celui qui a vu sa réputation divisée par sa gestion de la crise sanitaire. L’étude menée par Raoult sur l’efficacité de l’hydroxychloroquine a suscité un vif débat, conduisant à sa disqualification scientifique par une partie de la communauté médicale.

En octobre 2024, l’Ordre des médecins reprochait au professeur d’avoir promu un traitement « insuffisamment prouvé » et d’avoir violé plusieurs articles du Code de la santé publique.

Entre science et cosmétique

Avec Magnifiscience, Raoult ambitionne de concilier recherche scientifique et innovation cosmétique. La start-up revendique l’utilisation d’actifs performants, basés sur les avancées scientifiques, pour réparer les structures cutanées et préserver la jeunesse de la peau.

Raoult explique : « Nous utilisons la science de pointe pour proposer des soins de la peau révolutionnaires. » Si cette reconversion peut surprendre, elle témoigne d’une volonté de rebondir dans un secteur en plein essor, où science et bien-être se rencontrent.

Certains aspects de cet article ont été développés avec l’aide de l’intelligence artificielle.