« Ça fait du bien de faire une bonne spéciale »

Pour la dernière ligne droite du Dakar, ce sont les terribles dunes du Quartier Vide, une région de 650 000 km2 où il n’y a… rien, qui seront au menu des participants.

« Ce mercredi, nous partirons devant, ce qui veut dire qu’il faudra se lever tôt puisque nous partons à 4h30. (rires) ! Il y aura 500 km de liaison et la spéciale annuelle de 115 km ce qui n’est jamais simple. Nous allons toujours dans ces dunes et il s’y passe toujours des choses. En 2023, avec le buggy OT3, j’avais fait un demi-tonneau. La machine a dû être remise sur roues. C’est donc une étape particulière à ne pas négliger.

De Mévius entend clairement livrer une performance finale de choix pour les dernières vraies sections de ce Dakar 2025.

« Nous n’avons pas grand-chose à jouer dans cette spéciale. La spéciale importante aura lieu jeudi. Ce mercredi, on risque de perdre du temps et c’est une bonne chose. Nous pourrions alors partir dans le bon peloton jeudi, au moment du décompte là où il y a 300 km dans le désert du Quartier Vide. Ce sera la dernière grande étape de ce Dakar puisque la dernière journée de course ne fera que 60 km.

En attendant, une chose est sûre : ce Dakar particulièrement difficile était fait pour les courageux.

« Nous nous y préparons. Nous essayons de développer davantage la voiture pour traverser les dunes. On s’amuse dans la voiture et on profite de cette édition du Dakar qui est la plus dure à laquelle j’ai pu participer jusqu’à ce qu’Even Mathieu, qui en a vu des tonnes avec Al-Attiyah, reconnaisse que c’est son Dakar le plus difficile depuis l’événement s’est déroulé en Arabie Saoudite. Ils ont mis la barre haute, arriver au bout sera important… et. Nous allons le faire !

L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt, c’est plus vrai que jamais !

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