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29 heures en attente moteur pour Roura

Victime de problèmes de générateur qui l’ont obligé à démonter son moteur, Alan Roura n’avait pas dormi depuis 48 heures au moment de partager son carnet de bord. « Pour vous, ce n’est peut-être pas grand-chose, mais pour moi c’est un moteur qui démarre et surtout c’est un Vendée Globe qui ira au bout ! », écrit-il, soulagé d’avoir pu résoudre ce problème.

Le skipper genevois, qui avait lui aussi cédé du terrain pour n’avoir pas su capter la bonne rafale et être resté coincé toute une nuit – « virant de bord 50 fois, et empannant autant de fois » – avait néanmoins repris espoir à temps. se confier. Parti à plus de 16 nœuds lors des 24 heures précédentes, il espérait rattraper le leader de son groupe de poursuite Jean Le Cam (17e).

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« Mer très agitée » pour Justine Mettraux

Justine Mettraux, elle, faisait face à « une mer très forte », confiait-elle dans sa chronique livrée mardi à Matin. Le Genevois, plus proche du top 8 que de la 12e place, espérait déjà retrouver « des conditions un peu plus clémentes » après le passage du Cap Horn.

« Mais je ne veux pas faire trop de pronostics », souligne Justine Mettraux, qui a passé son premier Noël en mer. Et qui a été pointé mercredi à 7 heures du matin à moins de 70 milles du 7ème rang Boris Herrmann. Une véritable prouesse pour un marin qui avait vu sa voile avant se déchirer il y a près d’un mois.

Épisode précédent : Vendée Globe : une symbiose entre marins et machines
 
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