Il est passé d’Agnan à Petit Nicolas à Hulk dans quelques années.
Valentin Rongier a connu une saison dernière difficile, ne disputant que dix matches de Ligue 1, a débuté la saison derrière Pierre-Emile Højbjerg, Geoffrey Kondogbia, Bilal Nadir et n’importe quel milieu de la Commanderie dans la hiérarchie de Roberto De Zerbi, mais s’apprête à débuter contre Lille ce samedi (17 heures). Comme Marcelino, Gattuso et Tudor, le jeune trentenaire surprend son entraîneur et devient un titulaire indiscutable à l’OM. Interrogé en conférence de presse la veille du match, le milieu formé au FC Nantes a expliqué les raisons de sa forme : “Je me sens bien. […] Je me suis donné du -, j’ai été patient, je me suis tu, comme d’habitude. J’ai travaillé. » Efficace.
“On est dans un sport où on a de l’ego”
Le doyen de l’effectif marseillais a également évoqué le rôle du psychologue de l’OM : « Elle est là pour tous les joueurs, si on a des problèmes pour préparer un match, des douleurs, des problèmes dans notre famille. Elle nous en demande beaucoup. Nous sommes dans un sport où nous avons de l’ego : « nous sommes des gars, nous n’avons pas besoin de ça », mais si on s’ouvre un peu, cela peut montrer la voie aux autres. » Valentin Rongier l’a notamment vue lors de sa convalescence. « L’année dernière, j’ai vécu des moments très compliqués. Pour moi, c’était une bonne idée de la voir pour parler. Il y a eu un petit traumatisme au niveau de la tête avec cette blessure qui a duré un peu plus longtemps que prévu. »
L’ego dans le football ? Impossible.
De Zerbi : « Il nous faudrait quatre ou cinq Rabiot »
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