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« Une étape de ma vie » rappelle le Parisien et ancien Toulousain Luc Steins

l’essentiel
Apparu à Toulouse, l’ancien défenseur central vit depuis quatre ans les heures de gloire du Paris-Saint-Germain. Mais l’international néerlandais (29 ans) n’a rien oublié de son passage dans la Ville rose. Souvenirs à l’heure de Fenix-PSG, ce dimanche après-midi, dans le cadre de la treizième journée de Starligue. Coup d’envoi, au Palais des Sports : 17h

Luc, quel est ton avis sur l’évolution de Fenix ​​​​​​depuis ton départ en novembre 2020 ?
Cela se renforce chaque année et je dois dire que c’est quelque chose qui me rend heureux (sourit). Je ne suis pas très surpris car j’ai le sentiment que peu à peu une culture de la victoire s’est créée. Une des forces de ce club, c’est aussi cet esprit particulier qui se ressent dans le vestiaire, notamment avec les joueurs qui sont là pour transmettre et guider les autres. « Ike » (Nemanja Ilic), Max (Maxime Gilbert), Jef (Lettens), Pickou (Pierrick Chelle), qui est aujourd’hui dans les bureaux, sont ceux qui entretiennent cette ambiance particulière.

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Quels souvenirs gardez-vous de votre passage à Toulouse en particulier ?
Un ensemble de choses. Du plaisir avant tout. Quand je suis arrivé ici, c’était un changement complet. Avant je n’avais vécu qu’aux Pays-Bas et en banlieue parisienne (à Tremblay-en-, ndlr). J’ai découvert une qualité de vie, un groupe extraordinaire sur et en dehors du terrain. J’ai profité de cet environnement accueillant pour démontrer mes qualités et c’est grâce à Toulouse que j’ai pu signer dans un club comme le PSG. Je suis vraiment content d’être passé par ici ; C’est une phase de ma vie que je n’oublierai jamais.

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Êtes-vous resté en contact avec l’un d’entre eux ?
Oui, avec beaucoup. Je vois notamment Jef (Lettens) trois ou quatre fois par an en dehors du handball. C’est toujours un grand plaisir de nous rencontrer. Jouer à Fenix​​est toujours un moment privilégié pour moi.

Après votre départ, Danijel Andjelkovic a été désigné à deux reprises meilleur entraîneur de la Starligue (2022 et 2023). Quelle image avez-vous de lui ?
Quand j’étais à Toulouse, il était encore l’adjoint de Philippe Gardent mais c’est surtout son professionnalisme que je retiens. Peut-être qu’il a vu plus qu’il ne pouvait supporter (sourire). Sa préparation pour le match a été très réussie. Il avait un game design très moderne, toujours différent. Il était très très fort et on voit que le club a encore fait un pas en avant lorsqu’il est devenu numéro 1. Le handball qu’il propose est vraiment inspirant. Je regarde souvent les matchs du Fenix ​​​​​​et de - en - j’ai des idées (monter). Quand on parle aux ex-Toulousains, je pense notamment à Ayoub (Abdi, parti à Nantes l’été dernier, ndlr), ils n’ont tous que du positif à dire sur « Dani ».

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Pensez-vous qu’il va vous préparer quelque chose pour ce match ?
Certainement (monter). Nous sommes conscients que ce sera un match difficile. Ils ont battu Nantes confortablement en début de saison (35-29) et peuvent se montrer redoutables au Palais des Sports. Je suis bien placé pour le savoir.

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