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Soutenir les causes, l’objectif du Kalon d’En Avant Guingamp

Samedi 23 novembre, les adhérents du Club des Kalon d’En Avant Guingamp ont tenu leur assemblée générale au stade du Roudourou, avant de se rendre à l’Akademi, pour soutenir l’équipe féminine qui disputait un match important en vue du maintien en Ligue 1. Première Ligue féminine.

« Unir, soutenir et agir »

Cette assemblée générale a été l’occasion de mettre en avant quatre causes que l’association présidée par Laëtitia Fourrier a soutenue au cours de l’année. « Alors nous expliquons aux Kalon pourquoi ils donnent de l’argent. Nos trois mots clés : fédérer, soutenir et agir », souligne ce dernier. Sur les 16 465 actionnaires-adhérents (sur les deux campagnes, en 2017 et 2023), 436 ont renouvelé leur cotisation annuelle, « mais la campagne n’a repris qu’en août ».

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Les membres de l’EAG Kalon Club ont tenu leur assemblée générale au stade du Roudourou, en présence de Fred Le Grand, président de l’En Avant Guingamp (premier rang, à gauche). (Le Télégramme/Emmanuel Nen)

Mais c’est grâce aux adhésions que l’association peut soutenir financièrement des causes. Comme Anouk, une Lamballaise de 6 ans, atteinte du syndrome de Skraban Deardoff qui touche une quinzaine de personnes en . Ou encore Symbiose, maison associative de soins de support en oncologie, qui a ouvert ses portes à Plérin à l’été 2023. « L’association soutient les femmes atteintes d’un cancer du sein et leurs proches. Nous lui avons permis de financer des séances en longue-côte. La pratique sportive est importante dans le parcours de soins », souligne Laëtitia Fourrier.

Un échographe mobile pour le Smur

Autre récipiendaire honoré samedi, le service des urgences de l’hôpital de Guingamp. L’année dernière, les Kalons ont pu financer des équipements qui ont allégé le fardeau des patients. Cette année, ils ont opté pour un échographe mobile, qui permettra aux équipes du Smur « de faire une pré-évaluation sur les patients dont les cas sont les plus graves. Nous manquons de ressources dans les services publics. L’aide extérieure, comme celle des Kalons, nous est précieuse », a souligné le Dr Alexandre Ellinger, chef des urgences. En 2025, le projet est de financer des peluches pour les enfants placés, un objet « qui les rassure ».

 
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