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Il n’y a pas que les feintes de Lane Hutson qui impressionnent Stéphane Robidas

Le défenseur Lane Hutson a fait écarquiller les yeux lors de ses débuts professionnels. Toutefois, pour Stéphane Robidas, ce n’est pas sa mobilité et ses feintes qui retiennent son attention.

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« On parle beaucoup de son jeu avec la rondelle, oui, il est impressionnant, mais l’aspect défensif, comment il défend et comment il gagne des duels face à sa taille, c’est ce que je remarque et que j’apprécie. beaucoup», a déclaré l’adjoint de Martin St-Louis, jeudi, après une séance d’entraînement à Brossard.

Au-delà du jeu spectaculaire de l’Américain de 20 ans, qui, à 5’9″ et 162 lbs, soulève la foule au Centre Bell presque à chaque match, son niveau de compétitivité est inspirant.

Hutson apprend notamment à reconnaître quand il est temps de déjouer un rival à la ligne bleue ennemie ou simplement de déplacer la rondelle en toute sécurité.

« Lorsque nous menons par un but, nous n’avons pas besoin d’y aller une seconde. On peut, mais il y a un moment pour le faire, il faut gérer le match, savoir quand y aller, quand il y a moins de temps”, a analysé Robidas.

«C’est un jeune homme extrêmement intelligent, il apprend très vite et il veut s’améliorer», a observé l’ancien défenseur du CH.

Lane Hutson ne s’est pas laissé abattre devant Nazem Kadri des Flames de Calgary, le 5 novembre.

Getty Images via AFP

Moins de confusion

Hutson, qui est toujours à la recherche de son premier but dans la LNH, doit également assimiler un nouveau concept défensif. Cela semblait compliqué en début de saison pour tous les joueurs du Tricolore, mais depuis quelques semaines, il y a eu moins de confusions en territoire défensif.

«[Il faut] essayez d’éliminer les zones grises, pour rendre le jeu aussi blanc ou noir que possible. Quand il y a des zones grises, c’est souvent là qu’il y a confusion”, a expliqué Robidas, ajoutant que chacun comprenait mieux son rôle, car “il suffit d’un joueur qui ne fait pas son travail pour donner une chance de marquer.

« C’est sûr que passer moins de temps dans notre région [ça aide]se souvient-il. Nos attaquants reculent plus rapidement. Parfois, cela part de la zone offensive. Quand on joue mieux avec la rondelle, quand on passe plus de temps à l’autre bout du terrain, c’est une bonne façon de ne pas avoir à défendre.

Stéphane Robidas

Photo de stock de Ben Pelosse

 
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