D’abord adjoint puis maire vous avez toujours soutenu la Croix, pourquoi ?
J’ai tout de suite compris, aux côtés de Michel Bézian, l’importance de la Croix pour la ville et son image. Elle est profondément ancrée en nous, elle est un marqueur de notre ville. Gujan-Mestras s’est concentré sur le sport, et le cross en particulier. C’était tout à fait naturel de continuer à le soutenir, à l’aider à s’adapter. Cela fait également le bonheur de nos administrateurs. Il y a un attachement très fort à cet événement. Tout Gujan-Mestras est en marche. La Croix est une réussite. Cela montre le dynamisme de la ville. C’est à la fois un événement sportif de qualité mais aussi un grand rendez-vous populaire. Les coureurs viennent pour le cadre exceptionnel et l’esprit.
Comment tenir cinquante ans ?
Nous avons su avancer et maintenir la barre, même après les gilets jaunes et le Covid-19 par exemple, ou les enjeux sécuritaires de plus en plus contraignants. Surtout, nous avons su nous adapter. On ne dure pas cinquante ans par hasard. La force de Cross vient de cette capacité à résister, à passer le temps, à se réinventer. Par exemple, proposez de nouvelles courses. Je tiens également à vous rappeler que nous courons à tout âge et sur toutes distances en Cross Country. Je suis aussi à l’origine de la course des pitchounes que j’ai vue en Espagne.
Et cette édition anniversaire ?
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