Bien que largement battu à Biarritz (25-0), le manager de Provence Rugby, Mauricio Reggiardo, a tenu à saluer, au coup de sifflet final, la qualité de l’arbitrage de Pierre Brousset.
C’est dans la peau du leader de Pro D2 que Provence Rugby s’est rendu à Biarritz hier soir. Au Pays Basque, les Provençaux, pas vraiment d’humeur, s’inclina assez largement (25-0) et au coup de sifflet final, Mauricio Reggiardo expliquait : «Ce soir, je ne suis pas déçu, le résultat est logique. Nous n’avons pas su capitaliser sur nos occasions. On n’a jamais lâché, on a toujours essayé et ce soir, je tiens aussi à souligner qu’il y a eu un très bon arbitrage. Ce n’est pas parce qu’on a perdu, 25-0, qu’il ne faut pas le dire. Nous avons eu la chance d’avoir un arbitre international. On n’est pas habitué à la Pro D2.»
Je n’ai pas la chance d’avoir un arbitre international sur le terrain chaque semaine.
Interrogé un peu plus tard à propos de l’action qui a donné lieu au deuxième essai biarrotvalidé après arbitrage vidéo sur une action où Jimmy Gopperth s’est senti gêné par M. Brousset, Reggiardo a voulu couper court à toute polémique : «Il y a eu cette action, mais c’est une question d’interprétation. Je respecte l’interprétation de l’arbitre. Je n’ai pas la chance d’avoir un arbitre international sur le terrain chaque semaine. Nous avions le numéro un français sur le terrain aujourd’hui. Je ne suis pas arbitre, je suis entraîneur. Je ne me permets pas de remettre en question la décision de l’arbitre. Je suis allé au vestiaire pour lui serrer la main, on a discuté, il n’y a eu aucun problème. Je l’ai félicité pour son arbitrage. L’arbitre est là pour prendre des décisions. Si ça avait été différent (sur cette action, NDLR), il y aurait eu un groupe qui n’aurait pas été content. Franchement, je n’ai rien à dire là-dessus. Je remercie juste l’arbitre qui était d’un niveau différent. C’était très bien.»
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