La supériorité technique de l’Italie n’a été remise en question qu’en seconde période. Quand les Belges pressaient plus haut. Mais le score n’a pas changé en raison de la maladresse transalpine (2,63 xG), d’une part, ou en raison de la concentration de Gianluigi Donnarumma, d’autre part. Le gardien du PSG s’est montré solide dans les airs et efficace sur sa ligne. Il a par exemple stoppé une frappe de Debast lancée à 30 m (50e) ou un centre au but de Loïs Openda (61e), seule action marquante de l’attaquant de Leipzig.
For Latest Updates Follow us on Google News
Related News :