Grâce aux 26 points de son leader français, le club villeurbannais remporte son troisième match d’Euroligue de la saison après cinq défaites consécutives.
Embrayage Malédon. Un panier et deux lancers francs de Théo Maledon dans les dernières secondes d’un match à suspense ont permis à Villeurbanne de s’imposer aux dépens de l’Étoile rouge de Belgrade (77-74) lors de la 10e journée d’Euroligue, jeudi à l’Astroballe.
L’Asvel a mis fin à une série de cinq défaites consécutives en remportant sa troisième victoire de la saison sur la scène européenne mais reste coincée en bas du classement avec un bilan de trois victoires pour sept défaites. Alors que le score était de 74-73 en faveur de l’équipe serbe, Maledon (26 points, 4 passes décisives) a redonné l’avantage à Villeurbanne à treize secondes de la fin (75-74) avant de réaliser deux lancers francs (77-74) pour assurer le score. succès des Rhodaniens.
Les Villeurbannais ont encore une fois livré un match solide après avoir tenu tête à l’Olympiakos Le Pirée, mardi à Athènes, en s’inclinant de seulement deux points (94-92). Une rencontre lors de laquelle Théo Maledon avait déjà inscrit 31 points, son record en Euroligue.
Lauvergne et De Colo également décisifs
Face au Red Star, ils menaient de onze points à la mi-temps (43-32) après avoir remporté les deux premiers quart-temps (24-20, 19-12). Face à la réaction de l’équipe serbe emmenée par Yago Dos Santos (13 points, 4 passes), Codi Miller-McIntyre (9 points, 5 passes) et Filip Petrusev (18 points), l’Asvel a ensuite perdu les deux suivants (15-19). , 19-23) mais toujours menés de sept points avant les dix dernières minutes (58-51). Les Rhodaniens ont été rattrapés sur deux lancers francs de Milos Teodosic à 6 minutes 35 de la fin (62-61).
Le Red Star, qui restait sur deux succès consécutifs dont le dernier, mardi à Monaco (98-90), pensait pouvoir s’imposer mais c’était sans compter la volonté de l’Asvel où Joffrey Lauvergne (13 points, 10 rebonds) , Nando De Colo (8 points, 5 passes), David Lighty (12 points) ont également été les principaux artisans de la victoire.
«C’est bien parce que j’entends toujours ce refrain qui dit que Villeurbanne perd toujours à la fin mais je précise que 90% des matches de l’Euroligue se gagnent ou se perdent à la fin.», a souligné Poupet. “Être compétitif en Euroligue jusqu’au bout, c’est une bonne chose. Je suis content parce que les joueurs le méritent”, a-t-il insisté, évoquant “une victoire de caractère».
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