Vous avez conclu une année chargée avec les Mondiaux, « particulière » comme vous avez pu le dire…
Les Mondiaux en Europe, chez nous, sont particuliers. J’ai commencé mon année en sachant que ces Mondiaux se déroulaient ici, donc il y a eu une petite course au fil des mois pour montrer que je méritais d’en faire partie. J’ai beaucoup travaillé, je me suis remis en question, car je visais ce Graal dès l’annonce du lieu. Comme pour les joueurs, on essaie d’être au sommet lors des Mondiaux mais il faut travailler toute l’année pour y être. Ensuite, les quarts et demi à Paris ont été exceptionnels, on a encore une fois prouvé qu’on était le meilleur public du monde. C’était important d’être là. Travailler sur les Jeux olympiques (avec Franceinfo) et les Mondiaux en France la même année, ça n’a pas de prix. Et puis conclure sur scène aux côtés de Sjokz (Eefje Depoortere, la principale présentatrice des concours Ligue des Légendes anglophones)T1 qui venait de décrocher sa cinquième étoile… Mais le moment avec Gumayusi (Min-hyung Lee, ADC de T1) à Paris, après la demi-finale, restera mon souvenir personnel préféré. Parce que l’initiative était drôle (lui faire goûter un croissant géant)l’a fait sourire. Et ça a fait plaisir à tout le monde… »
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