Les vingt-trois joueurs dont dispose Domenico Tedesco se sont entraînés pendant plus d’une heure ce dimanche matin, à Tubize, au centre national d’entraînement belge, au sud de Bruxelles. En début de séance, la veille de Belgique – France à Roi-Baudouin (20h45), quatrième match de Ligue des Nations, le groupe des Diables Rouges a posé collectivement avec un drapeau suédois déployé. Ce geste symbolique commémorait la mémoire des deux supporters suédois décédés après avoir été victimes d’un attentat terroriste à Bruxelles, avant le match Belgique-Suède (1-1). Dans un Stade entièrement bouclé, le match a été définitivement interrompu à la mi-temps, après accord entre les deux nations et l’UEFA, le 16 octobre 2023, lors d’un match de qualification à l’Euro 2024.
L’entraîneur italo-allemand du Plat Pays a ensuite évoqué sa troisième confrontation consécutive avec la France en trois mois et demi, pour deux défaites, à l’Euro (0-1, 8es de finale, le 1er juillet) et le mois dernier à Lyon (0-2, 2e journée de la Ligue des Nations). « Il faudra être courageux, comme nous l’avons été lors des trente premières minutes à Lyon, a-t-il souligné. DDans ce genre de situation, il faut profiter de cet avantage et l’utiliser contre ce genre d’équipe contre laquelle vous n’aurez pas beaucoup de situations. Nous avons eu trois ou quatre occasions et il fallait marquer au moins une fois. Il aurait été important de diriger. Le reste aurait pu être plus facile. »
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