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Le marché des transactions s’effondre pour Kent Hughes

Kent Hughes, malgré ses nombreux succès comme directeur général des Canadiens de Montréal, semble avoir du mal à apprendre de ses erreurs.

Après avoir raté l’opportunité d’échanger Josh Anderson alors que sa valeur était élevée sur le marché commercial, il a répété le même scénario avec Mike Matheson, laissant passer une opportunité en or de maximiser la valeur de ses actifs.

Ces deux cas illustrent une tendance inquiétante : Hughes tarde trop souvent à agir sur le marché des transactions, préférant conserver les acteurs dont la valeur baisse plutôt que de capitaliser sur leurs performances maximales.

En juin 2022, alors qu’Anderson suscitait un fort intérêt sur le marché commercial, Hughes a eu l’opportunité d’obtenir un rendement important, comparable à celui obtenu pour Tyler Toffoli (choix de première ronde et espoir B comme Emil Heineman).

Les rumeurs suggèrent que de nombreuses offres sérieuses étaient sur la table, mais le directeur général a choisi de conserver l’avance, estimant que sa valeur continuerait d’augmenter.

Malheureusement, nous connaissons la suite. Anderson s’est effondré et est devenu un véritable fardeau. Aujourd’hui, le contrat de Josh Anderson n’est plus négociable, et les équipes autrefois intéressées ne le toucheraient pas avec une perche aujourd’hui.

Malheureusement, le même scénario s’est répété avec Mike Matheson. La saison dernière, le défenseur était en feu et son nom était sur toutes les lèvres sur le marché des transactions.

Certains parlaient même d’un retour potentiel impliquant un choix de première ronde, un joueur confirmé et un espoir de premier plan.

Matheson semblait être à son apogée avec un temps de jeu incroyable. Mais tout le monde voyait que sa « bulle allait éclater ».

Mais Hughes a choisi de ne pas déménager parce que Martin St-Louis voulait le garder. Aujourd’hui, la situation a pris une tournure inquiétante : les déficiences défensives de Matheson sont devenues trop évidentes pour être ignorées, et sa valeur sur le marché commercial a chuté de manière significative.

Les lacunes défensives de Matheson sont désormais un problème récurrent, au point que certains suggèrent qu’il serait plus utile en tant qu’attaquant.

Pire encore, il prend la place de Lane Hutson, qui devrait évoluer sur la première unité en avantage numérique.

Matheon commet autant d’erreurs en zone défensive qui ont coûté cher à l’équipe, mais il se montre désormais dangereux offensivement, tirant à la moindre occasion en avantage numérique, ratant le filet par 10 pieds.

Tant qu’il occupera le poste de défenseur numéro un, le Canadien aura de la difficulté à contenir les attaques adverses.

En conséquence, ce qui aurait pu être un échange qui aurait accéléré la reconstruction est devenu un casse-tête pour Hughes, qui doit maintenant faire face à un joueur dont la réputation se dégrade de jour en jour.

Josh Anderson et Mike Matheson, même combat. Ces deux situations prouvent la faiblesse de Kent Hughes. En attendant trop longtemps pour agir, il a raté des occasions de maximiser la valeur de ses joueurs.

Dans une ligue où la règle d’or est « acheter bas, vendre haut », Hughes a fait exactement le contraire avec Anderson et Matheson.

Ne pas les vendre alors que leur valeur était à son maximum est impardonnable.

Pour le directeur général du Canadien, c’est une leçon coûteuse. S’il veut changer les choses, il devra trouver un moyen de restaurer la valeur de Matheson sur le marché, tout en essayant de limiter les dégâts causés par la performance décevante de Josh Anderson et son contrat puant de 5,5 millions de dollars par an jusqu’à présent. ‘en 2027.

Les distinctions reçues pour ses premiers pas sur le marché des transactions ont pris racine, et Hughes se retrouve désormais confronté aux conséquences de ses décisions.

Ou plutôt ses non-décisions.

Il faut désormais composer avec un défenseur qui joue trop, qui est nuisible défensivement et qui bloque Lane Hutson.

Il est même considéré comme un danger public en zone défensive.

Kent Hughes devra rapidement revoir son approche du marché des transactions s’il veut éviter de répéter les mêmes erreurs à l’avenir.

Jamais deux sans trois ?

Misère…

 
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