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Patrick Roy montre la porte de sortie

Patrick Roy impose sa loi à Long Island.

Le sélectionneur a adressé un message impitoyable à ses joueurs, et Pierre Engvall en a fait les frais. Non seulement Roy a rappelé à Anthony Duclair l’importance des efforts défensifs et du respect des consignes, mais il a également pris une décision forte en plaçant Pierre Engvall au ballottage.

Engvall, qui a signé un contrat de sept ans d’une valeur de 3 millions de dollars par saison, a vu sa position dans l’équipe des Islanders menacée après l’échec d’un camp d’entraînement.

L’entraîneur québécois s’est montré cinglant lorsqu’on lui a demandé de commenter la performance d’Engvall.

Roy a immédiatement jeté son agresseur sous le bus, affirmant qu’il pouvait « faire mieux » et que des ajustements étaient nécessaires.

Immédiatement après, il a été mis en dérogation.

Son différentiel de -5 en seulement quelques matchs l’a fait couler.

Avec cette renonciation, Roy envoie un message puissant à toute l’équipe : l’engagement total n’est pas négociable.

Duclair, de son côté, a eu une discussion avec Roy qui visait davantage à s’assurer que l’ancien des Panthers correspondait bien aux attentes de l’équipe, notamment en termes de retrait défensif et d’effort constant sur la glace. .

Roy admet que Duclar n’est pas le plus cohérent défensivement et il doit se réveiller sur cet aspect.

“Nous voulons être une équipe qui excelle dans le retrait défensif.”

« Nous voulons nous assurer que nos joueurs arrivent rapidement sur le banc, et ces aspects ne sont pas négociables. »

Pour Engvall, son monde s’effondre. Lui qui pensait être en sécurité avec son contrat de 7 ans doit désormais faire face à l’incertitude.

Avec Maxim Tsyplakov et d’autres jeunes joueurs ayant impressionné Roy, Engvall a vu sa place menacée.

Le directeur général Lou Lamoriello a expliqué qu’il ne s’agissait pas d’une mauvaise performance, mais simplement du fait qu’Engvall avait perdu sa place face à une concurrence intense.

Quel mauvais contrat de Lamoriello.

Patrick Roy, fidèle à sa réputation, ne tolère aucun relâchement et s’attend à ce que ses joueurs se donnent à 110 %, peu importe le salaire.

Engvall, qui a montré des signes d’incohérence tout au long de sa carrière, doit maintenant prouver qu’il peut jouer dans la LNH.

Mais qui voudra de cet horrible contrat ?

C’est ce qui arrive lorsque vous souhaitez embaucher des plombiers pour trop longtemps… et trop cher…

Engvall n’en croit pas ses yeux.

« Bien sûr, vous ne voulez pas que des buts soient marqués contre vous. Vous voulez marquer des buts et être du côté positif.

« Évidemment, ce n’est pas agréable. Après seulement deux matchs, c’est difficile à dire. Vous devez jouer à beaucoup de jeux, et je pense qu’à la fin, c’est là que vous pouvez voir où est votre plus/moins. Et je pense que si vous regardez mes saisons, j’ai toujours été du côté positif.

«Bien sûr, vous voulez jouer à chaque match, mais j’ai eu un bon entraînement et une bonne séance de musculation. Je suis donc prêt pour le prochain, peu importe où. affirme Pierre Engvall, comme pour envoyer un message à son coach.

«Je pense que tout le monde se bat pour faire partie de l’alignement. Et je pense que pour certains joueurs, leur position est plus sûre, mais depuis le premier jour, j’essaie de faire de mon mieux. “

Une flèche vers Patrick Roy pour avoir des favoris et des boucs émissaires ? Il fait chaud.

Une chose est sûre : Roy ne se souciait pas beaucoup de ses 3 millions par an garantis étalés sur 6 années supplémentaires.

18 millions de dollars en dérogations. Patrick Roy toujours aussi impitoyable.

 
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