L’année de contrat d’Ivan Demidov en Russie n’est pas idéale. Après tout, les Canadiens ne peuvent pas contrôler son temps de jeu aussi facilement que s’il évoluait au Québec, par exemple.
Il y a encore moyen de lui parler, mais ce ne sont pas Pascal Vincent ou Martin St-Louis qui décident de son temps de jeu.
Est-ce que ça fait vibrer les Canadiens? Selon ce qu’a dit le journaliste Arpon Basu lors d’une séance de questions-réponses sur Reddit hier, oui, c’est un sujet qui a déjà été abordé à Montréal.
Le jeune doit aussi travailler. Après tout, depuis le début de la saison, il joue sur un bas-6 et il n’obtient pas exactement le temps de jeu qui devrait revenir à un joueur de sa stature.
C’est normal loin de l’Amérique du Nord, mais bon.
Évidemment, pour qu’il ne se décourage pas en cours de route, le Canadien peut au moins l’encourager et lui prodiguer des conseils. Et voici ceux de Rob Ramage, tels que révélés aux médias ce matin : On ne devient pas amer, on s’améliore.
En français, cela signifie : On ne devient pas amer, on s’améliore.
Evidemment, à part redoubler d’efforts, Demidov ne peut rien faire d’autre. Il devra mériter chaque minute pour s’assurer de jouer le plus possible et de réaliser une belle saison.
C’est comme ça que ça fonctionne au hockey.
Notons que Ramage, toujours concernant Demidov, dit apprécier l’enthousiasme du jeune Russe. Il sent aussi qu’il a faim et qu’il est donc sur la bonne voie pour l’avenir.
Reste à voir quel produit arrivera au Québec en 2025.
Dans un éclat
– Le cas du gardien des Bruins n’est pas simple.
– Mérité. Nikita Kucherov et Ryan McDonagh seront ses assistants.
– Il va être bon.
– A lire.
– Pour les fans des Devils.
– Tout ou rien à Toronto.
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