Malgré une belle prestation, l’Avenir valencien a concédé le nul, 21-21, face à Auch, frustrant joueurs et supporters. Une occasion manquée de célébrer dignement l’anniversaire du capitaine Guillaume Dulay.
A la veille de la rencontre de dimanche, les « ciel et blanc » étaient bien décidés à offrir une belle victoire à leur doyen de l’équipe, Guillaume Dulay qui venait de fêter ses 40 ans à la réception d’Auch.
Hélas! il manquait un peu pour que la balance penche du côté droit, elle est restée en équilibre, avec un résultat nul, 21 à 21. C’était vraiment une déception dans les rangs valenciens, les joueurs, le staff et les managers se sentaient frustrés, commencent la co- le président Alain Démo qui jurait à la fin de la rencontre : “C’est embêtant de ne pas avoir gagné, ça aurait été un joli cadeau pour Guillaume (Dulay) qui fêtait ses 40 ans ce dimanche, on aurait vraiment aimait lui donner la victoire.
Cette rencontre avait bien commencé avec un froid glacial, dès la première minute, les locaux étaient à l’attaque dès la deuxième minute, Thomas Piquemal a renvoyé un ballon comme il sait bien faire et une passe pour Alexis Rey qui a pointé complètement dans le ballon. coin . Hélas! la transformation sera à peine manquée.
Départ en fanfare, et quelques minutes plus tard, mêlée favorable, Roy Lolesio qui s’échappe à 5 mètres de la ligne de but mais l’essai ne sera pas marqué, cela aurait permis aux coéquipiers de Guillaume Dulay de mener confortablement en moins d’un quart d’heure. . A la mi-temps, 11 à 11, tout est encore possible mais après des allers-retours en fin de match, la victoire échappera aux locaux. Le vestiaire valencien a été déçu, les deux points du nul n’ont pas suffi, on espérait mieux.
L’analyse de Nicolas Crubile
Nous allons construire notre semaine autour des points positifs de ce match : notre défense, notre jeu de transition, notre touche, notre capacité à enchaîner notre jeu avant-trois-quarts, même si nous pouvons, et nous ferons, faire encore mieux sur ces secteurs. . Je trouve aussi qu’on les a marqués physiquement, ce qui est un indicateur de référence de notre jeu. On a trois moments forts, dans lesquels on ne marque pas, dans des matchs serrés, comme ce week-end, ça compte beaucoup. Nous savons que nous devons améliorer cela pour être plus difficile à jouer. Cela passera aussi par un peu plus d’alternance des formes de jeu. Concernant la mêlée, après avoir revu les images, le décalage se fait davantage sur des décisions que sur une domination réelle. C’est regrettable, car ce sont des décisions à géométrie variable. Il y a aussi beaucoup de lobbying dans ce domaine, à nous de faire le nécessaire pour montrer une image différente et de s’adapter aux observables qui évoluent chaque semaine.
La coque du « Guigui »
Les dirigeants valenciens avaient prévu de marquer l’anniversaire de Guillaume Dulay, b. 9, capitaine dimanche, en lui offrant une belle coque qui a été dégustée sur place par ses coéquipiers. Pour souffler les bougies, il a pu compter sur sa petite-fille Elaia et sa maman Maëliss.
Repas d’avant match. Une nouvelle fois, le repas d’avant-match a réuni plus de 130 convives, parmi lesquels des supporters d’Auch et de nombreux anciens joueurs de Valence. On a également remarqué la présence de Michel Ambal qui avait entraîné le Futur valencien avant de rejoindre l’USM et Alain Demo, dans son discours de bienvenue, n’a pas manqué de le souligner avec une pensée pour Marceau, le père.
L’aligot-saucisse, concocté par la bande de Benoît Guizot et Greg Rachail, a eu beaucoup de succès.
Le coup d’envoi. Elle a été donnée par Sébastien Bagni en présence des représentants du Téléthon.