l’essentiel
Les Columérins, après avoir limité la casse en battant Biarritz avant Noël, ont repris l’entraînement ce samedi. Et la remise en forme devra être efficace avec ce premier match à Valence-Romans vendredi.
Il n’y a pas que la rentrée pour les écoliers ! Les Columérins ont repris l’entraînement samedi dernier, après deux semaines de pause. Des vacances obligatoires qui permettaient aux joueurs (et au staff) de prendre congé. «Ils avaient pour consigne de couper une bonne semaine, presque dix jours, avant de réaliser eux-mêmes un petit programme de récupération en fin de semaine dernière», révèle Laurent Delahaye, préparateur physique. Samedi, une petite séance de remise en forme a réuni tout ce petit monde revenu de vacances. « On a pas mal couru samedi, ce qui veut dire qu’on fait attention à la distance parcourue les jours suivants, pour ajuster l’intensité, poursuit-il.
Le groupe a connu de nombreux retours (Pacheco, Pirlet, Tartas, Whetton, Timu, Herron, Delourmel), même si tous n’ont pas encore postulé au concours. « Comme nous jouons déjà vendredi, il faut vite entrer dans le vif du sujet. Mais s’arrêter aussi longtemps, car en quinze jours on perd beaucoup de qualités physiques, implique de prendre des précautions. » D’où la séance de samedi qui avait des airs de préparation d’avant-saison.
Un voyage dans la Drôme coupé en deux
D’ailleurs, la semaine reste classique pour les hommes de Julien Sarraute qui devront vite se remettre sur les rails, d’autant que ce bloc ne compte que trois matches. « Nous ne sommes pas en mesure de laisser un match de côté. Nous sommes en retard sur nos objectifs, rappelle Laurent Delahaye, concernant la dixième place et les dix points qui manquent à La Colombe dans le top 6. Nous avons trois matches, nous allons les jouer à fond. Clairement, nous allons à Valence pour faire un résultat, nous ne pensons pas au prochain match. »
Le trajet sera coupé en deux, comme ce fut le cas pour se rendre à Grenoble et Oyonnax. « On part jeudi matin, on s’entraîne à Montpellier sur le terrain synthétique du MHR, on mange et on part. Cela nous permet de démarrer le matin, puis de faire un peu d’explosivité et de nous installer au milieu du trajet. »
Une optimisation du temps qui ne sera pas de trop pour tenter de bouger dans la Drôme.
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