Jeudi 12 décembre, Thierry Tastet, chef du service municipal des sports, Julien Escarpit président d’Omnisports, Dominique Dourthe adjoint au maire et chef de la commission municipale des sports, et Chantal Chevalier responsable d’Anim’Ados, structure de l’Amicale Laïque Rionnaise (ALR ), avait invité les différents présidents des sections sportives, culturelles et sociales à poser les bases d’un projet qui s’étendra, dans un premier -, sur toute l’année 2025. Une idée boostée par l’Impact Programme 2024, issu des Jeux Olympiques et Paralympiques.
Ce projet s’adresse « aux jeunes de 13 à 17 ans, aux inscrits au CLAS (structure ALR d’aide aux enfants en difficultés scolaires de 12 à 15 ans) et à tous les 18-24 ans souhaitant s’impliquer dans ce projet. Les services communautaires (médiathèque, service des sports), les établissements scolaires ou encore les structures privées peuvent également apporter aide et soutien.
Il s’agit avant tout « de faire découvrir aux jeunes l’utilité d’une association dans la vie publique et son fonctionnement et, en retour, d’aider le monde associatif à trouver de nouveaux bénévoles susceptibles d’assurer sa continuité ».
Formation et informations
Sous quelle forme ? Un plan d’action a été présenté qui comprendra, entre autres, sous forme de « formation et information », un - de rencontre entre jeunes et associations et un programme d’appel à bénévoles. Par la suite, les intéressés devront procéder eux-mêmes à « la création d’un événement soutenu par une structure associative éphémère qu’ils auront constituée ».
Cela se traduira par un renforcement de leur engagement. Ce plan d’action fait l’objet d’un calendrier bien établi qui doit permettre « le montage d’une séquence de Fêtes de Station, de solidarité avec le Maroc, de préparation de l’année 2026 et autres ». Après un tour de table, il faut commencer : « Qui est positionné pour proposer un besoin d’une journée ? »
Ainsi, deux ou trois sections sportives pourraient demander de l’aide pour préparer les épreuves. « Attention à ne pas utiliser les jeunes comme main d’œuvre », a rappelé Julien Escarpit.
