Anderlecht aurait pu se faciliter la vie s’il avait doublé, voire triplé, son avance d’un but en première mi--. L’homme impliqué dans tous les bons coups était Ciske Amuzu. Il a donné la pré-passe pour porter le score à 0-1, il a fait un centre à Dolberg qui aurait dû porter le score à 0-2. Et surtout il aurait dû marquer le 0-2 lorsque Dreyer l’a lancé vers le gardien de Saint-Trond, sans défenseur à proximité.
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Avec sa vitesse, il aurait pu pousser le ballon devant le gardien de but puis l’envoyer dans le but. Mais Amuzu n’a jamais aimé les opportunités faciles. Pourtant, lors de son tout premier match professionnel, il y a exactement sept ans, il a marqué le seul but du match contre Eupen. Entre--, il a marqué 28 buts et délivré 32 passes décisives en 244 matchs. Il a donc été décisif une fois sur quatre matches. C’est trop peu, compte tenu de ses qualités. Et c’est pour cela qu’il joue toujours à Anderlecht et non dans un championnat majeur. Si Anderlecht veut aller très loin en Ligue Europa ou devenir champion, il lui faudra une version Amuzu Premier League.
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