Mercredi 11 décembre, la FIFA attribuera les deux éditions de la Coupe du monde : 2030 et 2034. Si cette double décision est mise aux voix, lors d’un congrès virtuel de l’instance suprême du football mondial, tout suspense aura disparu. l’année dernière, les deux numéros se sont retrouvés seuls en lice pour chaque édition.
La « Coupe du monde du centenaire », qui célébrera le centenaire de la première édition uruguayenne en 1930, s’est transformée en feuilleton géopolitique avant d’aboutir à un accord inédit entre les confédérations.
Concernant la Coupe du monde 2030, organisée conjointement par le Maroc, l’Espagne et le Portugal, la FIFA avait préalablement validé le dossier qui, selon l’instance, a démontré sa capacité à accueillir avec succès cet événement sportif.
Selon la FIFA, cette candidature « vise à inspirer et à unir, en exploitant la passion collective pour le football dans les trois pays pour rassembler les gens, transcender les frontières et renforcer les liens entre deux continents voisins et le monde. »
La finale au Maroc ?
La FIFA s’apprête également ce mercredi à prendre une décision historique sur l’organisation de la finale de la Coupe du monde 2030.
Selon plusieurs observateurs, le Maroc se positionne comme l’un des principaux prétendants, dépassant l’Espagne, longtemps considérée comme l’une des principales puissances sportives en Europe.
-La candidature du Maroc se distingue par une combinaison de modernisation stratégique et de plans ambitieux. Alors que l’Espagne possède deux des stades les plus renommés au monde, le « Santiago Bernabéu » à Madrid et le « Camp Nou » à Barcelone, le Maroc s’impose comme le meilleur choix grâce à ses infrastructures de pointe. , qui adhère aux dernières normes internationales, promettant une expérience exceptionnelle aux fans.
Casablanca, pôle économique et de transport du Maroc, est à l’avant-garde de cette candidature, démontrant une préparation sans précédent pour accueillir l’événement de football le plus prestigieux au monde.
Le Stade Hassan II, qui devrait accueillir environ 115 000 spectateurs, est l’un des projets phares qui placeront le Maroc sur le devant de la scène mondiale. La ville surpasse également Madrid et Barcelone en termes de transports, avec un réseau de tramway de 80 kilomètres et de nombreuses gares assurant une circulation fluide au sein de la ville.
De plus, Casablanca a reçu une note exceptionnelle de 4,7 sur 5 de la part de la FIFA, surpassant ainsi de nombreuses grandes villes européennes. Ce classement souligne la préparation du royaume à accueillir des événements sportifs internationaux, Casablanca excellant dans les transports, l’hôtellerie et les installations sportives, ce qui en fait un sérieux rival de Madrid, Barcelone et Lisbonne.
Il semble que la décision attendue ne soit pas seulement une étape sportive mais une réalisation extraordinaire pour le Maroc et le continent africain. C
Cette candidature marque le point culminant d’un long parcours de tentatives précédentes, qui a commencé avec la première candidature du Maroc à l’organisation de la Coupe du monde en 1994, suivie par des efforts en 1998, 2006, 2010 et 2026. À chaque tentative, le royaume est devenu plus fort et plus sage, apportant avec lui une vision forte de l’avenir et une détermination inébranlable.