Si le Grand Prix d’Autriche nous a offert une course folle et la fin de l’amitié entre Max Verstappen et Lando Norris, la F2 n’avait rien à lui envier. Et pour cause, Dennis Hauger s’est sorti d’un piège des plus dangereux : la pole position.
Le cirque de la Formule 2 commence effectivement vendredi. Alors qu’il a toutes ses chances de décrocher la pole position, le moteur d’Isack Hadjar part en fumée. Résultat, le Français doit se contenter de la septième place sur la grille. Du solide. Puis dimanche, c’est Dennis Hauger qui continue la malédiction de cette pole position. Et avec panache, s’il vous plaît.
Comme d’habitude, certains tweets vieillissent mal.
Départ académique de Dennis Hauger
Les voitures sont immobilisées sur la grille de départ, en attendant de pouvoir s’élancer et de faire le traditionnel tour de formation. Toutes s’élancent, à l’exception de Dennis Hauger, Jak Crawford et Kush Maini. La raison ? Les trois pilotes ont rencontré un problème mécanique. Si pour les deux derniers, partis en milieu de grille, la perte est minime, pour Hauger, la faute est immense. Non seulement il doit abandonner sa pole position, mais il doit aussi s’élancer depuis la voie des stands.
Et ce n’est pas tout, la véritable raison de son non-départ est connue : il a tout simplement calé. Chef. Son échec rappelle évidemment celui de Charles Leclerc en qualifications sprint.
Dennis Hauger devra se contenter d’une 13e place, juste derrière… un certain Victor Martins. Pouvait-on rêver meilleur week-end de course en Formule 2 ? Oui, on fait comme si le podium d’Isack Hadjar n’avait pas existé. Laissez-nous dans notre déni, merci.
