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Journaliste
Avide de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui titulaire d’un Master en journalisme sportif, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités.
L’été dernier, le PSG a décidé de recruter Matvey Safonov à la surprise générale. Le gardien russe est arrivé de Krasnodar et il semble s’imposer comme un peu plus qu’une doublure. En témoigne ses deux derniers mandats. Luis Enrique fait donc tomber Gianluigi Donnarumma.
Recruté pour 20 M€ l’été dernier, Matveï Safonov débarqué de Krasnodar à la surprise générale. Premier remplacement de Gianluigi Donnarummal’international russe a pris place dans les buts lors des deux derniers matches de la PSGsans être totalement impeccable. Ainsi, selon le journaliste de parisien, Laurent Perrin, Luis Enrique tout gâché avec Gianluigi Donnarumma qu’il considère comme un grand gardien.
“C’est un excellent gardien de but.”
« C’est un très grand gardien de but. Mais comme tous les gardiens, il a besoin de confiance. Et là, j’ai peur que la situation ne l’alourde. La gestion des gardiens de Luis Enrique est catastrophique. Au PSG (comme ailleurs), à chaque fois que deux gardiens étaient mis en compétition, il y avait des dégâts. Même Buffon a fait les frais du turnover et s’est montré mauvais face à MU lors d’une soirée désastreuse en 2018 », raconte le journaliste dans un Questions/réponses organisé sur le site Internet de parisien.
“Mais quel gâchis !”
« Dimanche, nous vous proposions un sujet intitulé ”La gestion dangereuse” des gardiens. Où en sommes-nous aujourd’hui ? Safonov est brûlé et doit avoir beaucoup de doutes. Donnarumma a compris qu’Enrique ne lui faisait plus confiance. En conséquence, le PSG a perdu deux gardiens. Reste Tenas… Hier soir, un journaliste a demandé à Enrique si l’Espagnol, champion olympique, serait titulaire lors du prochain match de Ligue des Champions. L’entraîneur a pris cela comme une provocation. Ce n’en était pas un. Vous pouvez tout imaginer avec Luis Enrique. Mais quel gâchis ! », regrette Laurent Perrin.
