Revue de Presse PSG : EdF, Zaïre-Emery, Barcola…

Revue de Presse PSG : EdF, Zaïre-Emery, Barcola…
Revue de Presse PSG : EdF, Zaïre-Emery, Barcola…

Vu et lu sur le PSG dans la presse française ce vendredi 15 novembre 2024. Le triste match nul de l’équipe de contre Israël (0-0) en Ligue des Nations, les difficultés de Warren Zaïre-Emery dans un positionnement insolite, Bradley Barcola inoffensif chez les Bleus…

Dans l’édition d’aujourd’hui, L’équipe

consacre sa Une au triste match nul et vierge entre
l’équipe de France et Israël ce jeudi à Stade de France (0-0). Un résultat qui permet tout de même aux Bleus de se qualifier pour les quarts de finale de la Société des Nations en mars prochain. Cependant, lors de cette rencontre, « Tout était triste et décourageant du début à la fin, cette ambiance lourde, ce stade vidé par la peur, et le jeu faible de l’équipe de Francesans rythme ni qualité en première période, et sans adresse ensuite. » Les Tricolores ont livré un premier acte sans intensité, sans rythme et sans caractère. Le 4-2-3-1 avec
Warren Zaïre-Emery dans une position hybride n’a pas non plus aidé le spectacle. Mais ce qu’on a vu sur la pelouse de Stade de France n’avait pas grand chose à voir uniquement avec l’organisation, « Trop porter le ballon, le donner trop lentement, trop souvent à reculons. » A cela s’ajoute la maladresse des assaillants
Bradley Barcola, Randal Cole Muani et Michel Olise.

Si la seconde mi-temps a été un peu plus excitante, le manque d’efficacité dans le dernier geste s’est fortement fait sentir.
«Même sans Ousmane Dembéléc’est comme s’il y avait eu trop de joueurs du PSG avoir une chance de marquer en se créant un maximum d’occasions dans un match international : après les échecs de Première classe
et Échelonner, Zaïre-Emery s’est lancé (76e), lui aussi, et finalement, même les joueurs formés en
Paris est resté sur le thème, avec l’immense opportunité manquée par Christophe Nkunku sur un centre de Kingsley Coman (90e+6). ,
Dimanche, l’équipe de France fera face Italieun adversaire qui va l’obliger à élever son niveau de jeu.

Le quotidien sportif s’intéresse au rôle hybride de milieu offensif occupé par Warren Zaïre-Emery avec
l’équipe de France. Depuis le dernier rassemblement, Didier Deschamps tente un nouveau poste de « faux numéro 10 ». Face au
Belgique en octobre dernier, c’était
Mattéo Guendouzi qui s’est retrouvé dans cette situation. Et hier soir, c’était au tour de Titi d’être jugé dans ce rôle hybride. A cette position, le coach des Bleus demande surtout à son joueur de harceler l’adversaire lorsqu’il a le ballon aux pieds. « Cela permet aussi une certaine liberté pour que d’autres milieux de terrain puissent prendre de la place ou que les ailiers puissent dézoner, sans déséquilibrer l’équipe. Cependant, il ne faut pas remettre entièrement en question la performance de ‘WZE’, mais plutôt le choix de l’entraîneur.»remarques LE.

Le milieu de PSG a été l’un des Français les plus présents dans la surface adverse (8 ballons touchés, troisième plus haut total). Il a également tenté des lancers vers l’avant et effectué des appels entre les lignes. Cependant, le joueur de 18 ans s’est montré beaucoup moins actif que ses autres partenaires au milieu de terrain. Warren Zaïre-Emery a terminé le match avec 65 ballons touchés, contre 93 pour Édouard Camavinga et 144 pour Strength Kanté.
« Au final, les résultats sont assez clairs :
Zaïre-Emery n’a pas évolué vers un poste qui semble correspondre à ses qualités (…) Pour sa troisième titularisation en sélection, ‘WZE’ a logiquement fini par être frustré. Il pourra dire ce matin qu’à 18 ans et 251 jours, il est devenu le plus jeune joueur de l’histoire à totaliser 6 sélections avec les Bleus devant
Kylian Mbappé (18 ans et 257 jours). »

Une petite consolation.

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Enfin, L’équipe pointe également les performances des attaquants français, dont celle de
Bradley Barcola. Aligné dans le couloir gauche, le joueur du PSG n’était pas très dangereux, tout comme Michel Olise droite. Les deux ailiers n’ont pas réussi à faire la différence face au bloc bas israélien. Impressionnant dans Ligue 1numéro 29 des Rouge & Bleu « Je ne peux pas me permettre de livrer un match aussi fade en bleu. Le principal domaine de progression – et le joueur y travaille – réside dans le développement de ses compétences en dribble. Face à des latéraux qui le connaissent de mieux en mieux. » L’ancien Lyonnais a cette tendance à se jeter dans les duels et à s’énerver de ses échecs. Et dans la surface, l’ailier de 22 ans a raté de peu ses rares situations.

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De son côté, Le Parisien revient également sur la tristement célèbre performance de
l’équipe de France parement Israël
(0-0) dans Société des Nations. Si ce partage des points permet aux Bleus de se qualifier pour les quarts de finale de la compétition en mars prochain, ils n’ont jamais su impressionner cette rencontre. « C’est trop souvent et particulièrement en 2024 que les Bleus enchaînent contrôle, ennui et frappes dans le vide plutôt que passes, centres et récupérations dans une grammaire du football qui s’écrit à l’envers. Oui,
France-Israël a longtemps semblé être une punition pour les yeux alors que les quelques présents n’avaient rien fait »
résumé LP. Sans leader attaquant et avec un manque de création, la formation de
Didier Deschamps n’a procuré aucune émotion.
« Chef d’orchestre ou pas, ils auraient pu s’en sortir de manière très personnelle mais ni l’un ni l’autre. Michel
Olise
dans Bradley Barcola n’est pas apparu dans une soirée d’exploits individuels ou d’idées brillantes, s’attardant dans un univers créatif à marée basse. C’est difficile de demander Randal Cole Muani se régaler dans ce désert. »
Dans une seconde période plus excitante, les Français manquaient de peu dans le dernier geste. Le milieu parisien, Warren Zaïre-Emerya notamment eu une belle occasion d’inscrire son deuxième but en sélection.
« L’équipe de France ne retrouvera pas la popularité avec si peu d’enthousiasme et de conviction dans ses intentions, abandonné au vide d’une transition sans managers ni talents au-dessus de la moyenne. Cette jeunesse –
Olise, Échelonner,
Zaïre-Emery par exemple – n’a pas été tiré vers le haut par un collectif dense et des dirigeants cohérents. »

 
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