En Californie, tout le monde peut imaginer un paradis sur terre, près de la mer.
Mais même s’il y réside désormais, Pierre-Luc Dubois vit dans le noir. Derrière le tableau idyllique de Los Angeles se cachent des défis, des tensions et un cri de consternation étouffé dans le vestiaire des Kings.
La décision de rejoindre Los Angeles, loin de la « pression » de Montréal ou de ceux qui le méprisent à Winnipeg, aurait dû offrir à Dubois un nouveau départ, une chance de se consacrer pleinement à Son jeu sans les fardeaux du passé. Mais hélas, la réalité s’est avérée différente.
Le Québécois, autrefois loué pour ses talents sur la glace, se retrouve désormais en proie aux critiques, aux chuchotements malveillants dans les vestiaires et aux rumeurs sur les réseaux sociaux.
Il est devenu le chef du Turc, le bouc émissaire, dans une équipe où le poids des attentes se conjugue avec les réalités du jeu.
On le traite de diva, de princesse, de bébé gâté, d’homme qui détruit les vestiaires partout où il passe. Bref, un être humain autodestructeur et destructeur des autres.
« Les gens qui m’attaquent ne sont pas au courant de la situation dans son ensemble. Il n’y a que moi, mes amis et ma famille qui savons ce qui se passe réellement. Être critiqué de l’extérieur, je peux vivre avec ça. Mais intérieurement, si j’ai des regrets, c’est moi qui dois vivre avec ça.
Les répercussions de son choix d’éviter Montréal résonnent encore, comme un écho persistant dans les couloirs du Centre Bell.
Même si la frustration des Québécois s’est transformée en soulagement, Dubois s’est tellement effondré à Los Angeles qu’il y a lieu de se demander si cela ne jouait pas dans sa tête.
Dubois a été tellement accusé d’avoir utilisé Montréal pour faire monter les enchères qu’on peut se demander si ce « désenchantement » envers sa province natale a affecté sa mentalité à Los Angeles.
Pendant ce temps à Los Angeles, les critiques cinglantes continuent d’affluer, alimentées par les spéculations sur ses motivations, sa paresse, son manque d’énergie, sa nonchalance, au point de se demander s’il n’y a pas quelque chose de plus grave hors de la glace.
Mais pour Dubois, ces critiques ne sont que des bruits extérieurs, des éclats de voix qui sonnent creux face à ses propres démons intérieurs.
Car au fond, il se retrouve seul à connaître les véritables motivations de ses choix, seul face aux tourments de ses décisions.
Et alors qu’il se démène sur la glace, peinant à trouver sa place au sein d’une équipe et de coéquipiers qui semblent le mépriser, le poids de ces critiques s’ajoute à celui des attentes exagérées qui pèsent sur ses épaules.
Son temps de jeu diminue, son impact semble s’estomper et la pression monte. Mais à l’ombre de cette lutte interne, Dubois refuse de céder.
Il reste convaincu que ses performances trouveront leur rythme, que sa place au sein des Kings se forgera par sa détermination et son travail acharné.
Malgré les obstacles, malgré les doutes, il persiste. Car au-delà des critiques, au-delà des murmures, se cache la passion qui l’anime, l’envie ardente de prouver sa valeur sur la glace.
Et même si le chemin semble semé d’embûches, Pierre-Luc Dubois reste déterminé à faire taire les sceptiques, à retrouver son bonheur dans ce nouveau chapitre de sa carrière.
Los Angeles peut offrir bien des merveilles, mais pour Dubois, le plus grand défi réside dans sa capacité à surmonter les obstacles, à réécrire son histoire sur la glace et enfin à trouver la paix loin des regards accusateurs.
Mais quand on l’écoute aussi désespéré, on se dit qu’il y a quelque chose d’encore plus grand que ses déceptions sur la patinoire.
Que se passe-t-il avec Dubois lorsqu’il est à la maison, loin de la patinoire ? Son entourage commence sérieusement à s’inquiéter.
Ses proches, sa famille, ses amis… tout le monde est inquiet. Quelque chose ne va pas. Cela se voit sur son visage, dans sa façon de bouger, dans sa façon de s’exprimer.
Quel est le vrai problème de Pierre-Luc Dubois ? Que se passe-t-il lorsqu’il est chez lui, hors de vue ? Seul Pierre-Luc a la réponse…
