« Je vais pouvoir m'offrir un week-end à Disney »

« Je vais pouvoir m'offrir un week-end à Disney »
«
      Je
      vais
      pouvoir
      m'offrir
      un
      week-end
      à
      Disney
      »

Atteinte de paralysie cérébrale due à un manque d'oxygène à la naissance, Aurélie a débuté la boccia en 2010 et ne figurait pas parmi les favorites pour ces Jeux. Sa catégorie BC1 est réservée aux personnes ayant les handicaps les plus sévères. Entretien avecla championne et sa partenaire, Claudine Llop-Cliville, l'assistante qui, sur le terrain, l'aide en lui plaçant le ballon dans la main et en positionnant leur chaise

Paris Match. Quel est le quotidien d'un athlète de boccia ?
Aurelie Aubert. Nous nous entraînons deux à trois fois par semaine à La Ruche, la structure, à Verneuil, dans l’Eure où je vis. Claudine et moi formons un tandem depuis sept ans maintenant. Nous sommes toujours ensemble, à l’entraînement comme en compétition. Notre relation est très soudée. Claudine est comme ma deuxième mère. La mère que je n’ai plus, malheureusement. Elle est là quand ça va bien et quand ça ne va pas. C’est elle qui m’a guidée, accompagnée quand j’ai quitté la structure enfant pour celle adulte. Nous sommes un duo très soudé.

A lire aussi Avec la boccia, la pétanque prend sa revanche aux Jeux paralympiques

Vous avez lancé un appel à un sponsor très particulier, Kinder, parce que vous êtes fan de chocolat ?
Oui, et ils m'ont fait savoir qu'ils me contacteraient par message personnel. Ce serait bien que la boccia, seul sport adapté aux handicaps lourds et pratiqué par 3 600 personnes en France, puisse attirer des sponsors.

A lire aussi Jeux Paralympiques…

- ParisMatch

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV L'ambassadeur du Brésil en Espagne vient en aide à Vinicius
NEXT Adieu au sprinteur Nantenin Keïta, figure emblématique de l'athlétisme français