Numéro 51, bandage pour les mains, les secrets de Pacho

Le PSG a recruté quatre joueurs l’été dernier, dont Willian Pacho, le premier Equatorien de l’histoire du club. Agé de 23 ans, le défenseur central gaucher s’est rapidement imposé comme un titulaire indiscutable sous Luis Enrique et il est le deuxième joueur le plus utilisé par l’Espagnol depuis le début de la saison (1962 minutes), juste derrière Achraf Hakimi (2019). ) mais devant une autre recrue estivale, João Neves (1794).

Rapidement adopté par les supporters parisiens, qui apprécient autant son agressivité dans les duels que son sourire contagieux, Willian Pacho s’est confié cette semaine sur le site officiel du PSG. Une interview publiée ce jeudi par le club dans laquelle le natif de Quinindé explique notamment pourquoi il a choisi de porter le numéro 51 original au PSG.

“Quand je réussis, je m’accroche aux mêmes choses”

“Parce qu’à Independiente del Valle, dans ma première équipe, j’avais le numéro 51, a confié le superstitieux défenseur équatorien. Cela a bien fonctionné pour moi et quand je réussis, je me concentre sur les mêmes choses. Et aussi, parce que ma mère est décédée à l’âge de 51 ans, c’est pour cela que j’en porte toujours du 51. »

Comme Karim Benzema à la main droite, Willian Pacho joue toujours avec un bandage à la main gauche. Une histoire de superstition là aussi ? « Oui, on m’a souvent posé cette question. À Anvers, en Belgique, je me suis cassé une partie de la main. Et j’avais un plâtre. Je suis resté un mois dans le casting, en décembre je pense. Et puis ils ont enlevé le plâtre au bout d’un mois et ont dû me mettre un pansement à la place. Je jouais comme ça, avec un bandage. Ensuite, j’ai joué avec l’équipe nationale, j’ai marqué un but contre l’Australie (le 28 mars 2023, ndlr) et j’ai commencé à porter le bandage à chaque fois à partir de ce moment-là, parce que je me sentais bien avec. Et maintenant, chaque fois que je vais jouer, pour me sentir bien mentalement, je porte toujours un bandage. »