Luis Enrique l’avait pourtant assuré avec ironie fin octobre, Gonçalo Ramos n’allait pas résoudre tous les problèmes du Paris Saint-Germain : « Il revient le 25, c’est sûr, mais je ne le fais pas. Je ne sais pas quel mois. De cette façon, nous sommes tous calmes et paisibles. La solution à tous les maux du monde, cela semble désormais être Gonçalo Ramos. Allez, on va dire qu’il revient le 25, et il va amener la même chose que ce qu’il a apporté avant. C’est un joueur que j’adore, mais de la même manière que j’adore tous les autres joueurs de mon effectif”, a ensuite indiqué l’entraîneur espagnol qui préférait à l’époque écarter Randal Kolo Muani pour essayer de faux numéros 9 pour que le Portugais fasse son retour.
Un porte-bonheur
Mais visiblement, l’apport d’un véritable attaquant fait toujours du bien aux champions de France. Déjà buteur contre Nantes en tant que renard de surface, l’ancien joueur de Benfica a récidivé hier dans un style un peu numéro 9 en battant son adversaire direct pour prendre de la tête un corner et offrir la victoire à son équipe. Et forcément, Luis Enrique devra se rendre compte que oui, cela change le visage de son équipe. Et les statistiques parlent pour Ramos, lui qui est devenu une sorte de porte-bonheur. C’est simple, son club n’a jamais perdu lorsqu’il a été buteur en compétition officielle (11 victoires, 4 nuls). Un chiffre qui en dit long sur l’importance du Portugais de 23 ans.
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Buteur hier soir contre l’AS Monaco, Gonçalo Ramos confirme qu’il est plus que jamais le porte-bonheur de son équipe. Son équipe n’a jamais perdu lorsqu’il a trouvé le chemin des filets.
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