Depuis l’arrivée de Qatar Sports Investments (QSI) au Paris Saint-Germain en 2011, des rumeurs sur un éventuel départ ont couru à plusieurs reprises. Peut-être juste après la Coupe du monde 2022. Cela a fini par être mis de côté, mais L’équipe relancer l’idée ce jeudi matin.
« Ôn suit le quotidien du champion de France avec un détachement prononcé »
» Du côté du palais princier, à Doha, on suit le quotidien du champion de France avec un détachement prononcé depuis la fin de la Coupe du monde 2022. Désormais, le club de la capitale n’est plus considéré comme une priorité.
Cette relative distanciation – sachant que seuls les transferts majeurs (Ibrahimovic, Neymar, Messi…) ou les décisions stratégiques revenaient historiquement à l’émir Tamim ben Hamad al-Thani – s’accompagne d’une réduction de voilure en termes d’investissement. Un reflux renforcé par la lassitude ressentie face aux attitudes de stars surpayées.
« L’émir serait vendeur en cas de bonne offre. »
Cela ne signifie pas que le Qatar envisage de se désengager. Même si certaines sources proches des cercles du pouvoir à Doha assurent que l’émir serait vendeur en cas de bonne offre, le président Nasser al-Khelaïfi reste le patron du PSG et continue de gérer – souvent à distance aussi, compte tenu de son plusieurs casquettes – affaires du club. »
On peut accorder au journal sportif qu’il n’est pas impossible que QSI puisse écouter un » belle offre ». C’est un peu la définition de ce dernier. Si elle l’est, c’est ” belle », c’est parce que c’est intéressant. Et donc une vente est possible.
La question est de savoir quel montant est autorisé à atteindre ce statut, si la proposition pourrait arriver bientôt et si QSI recherche un acheteur ou s’il faudrait une initiative un peu audacieuse pour en acheter un.
Pour l’instant, il n’y a pas le moindre signe de vente alors que le nouveau centre de formation de Poissy vient d’être présenté en grande pompe. Il y a surtout un projet relancé en 2023 avec une autre approche.
Peut-être manque-t-il des « stars » en ce moment aux yeux des observateurs et des investisseurs, mais il faut aussi accepter de relancer une base plus saine pour que l’équipe puisse vraiment avancer. C’est une période un peu atone en raison de quelques résultats décevants. L’occasion de répandre des rumeurs partout. Restons prudents et laissons le PSG travailler.
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