« Ce n’est pas la volonté de Gérard Lopez de traiter avec Socios. Par contre nous sommes en contact avec Bruno Fievet »

«Ça progresse. Donc, il n’y a pas de discussions avec Gérard Lopez, car de toute façon on ne peut pas avoir de discussion avec lui, ne serait-ce que juridiquement, puisqu’il est placé en redressement judiciaire. Si une discussion devait avoir lieu, ce serait avec l’administrateur judiciaire. Et puis, ce n’est pas la volonté de Gérard Lopez d’avoir affaire à Socios. En revanche, nous sommes en contact étroit avec d’autres investisseurs, Bruno Fievet, sans parler de lui. Je me permets de le dire car c’est là qu’on voit que les Girondins Socios ne sont pas là, juste comme ça, pour amuser la galerie… Grâce à notre action, nous avons contacté Didier Poulmaire qui est avocat, qui est le spécialiste de la confiance en France . Dans le cadre d’une fiducie, nous pourrions participer au capital du club. Le trust, c’est prendre tous les différents acteurs qui seraient intéressés, les investisseurs, la mairie, les adhérents, ils relèvent d’une même entité, et une fois qu’on sera tous d’accord pour racheter le club – ou en cas de liquidation judiciaire ce que je ne souhaite absolument pas, pouvoir repartir sur de bonnes bases avec tous ces différents acteurs. Cela nous permet également d’arrêter cette course du « j’ai de l’argent, je n’ai pas d’argent ». Les investisseurs doivent placer l’argent, avec nous, dans le compte en fiducie. Et là-dessus, on a mis Didier Poulmaire en relation avec Bruno Fievet, c’était un très bon match. D’une manière ou d’une autre, grâce à notre contact, notre vision, de l’extérieur, les choses avancent, et nous pourrions concrètement avoir quelque chose qui nous permettrait de faire une proposition au propriétaire actuel.