Nasser al-Khelaïfi sends a message to Luis Enrique for his future

À plusieurs reprises, Luis Enrique a été interrogé sur son avenir. Sous contrat avec le Paris Saint-Germain jusqu’en juin 2025, l’entraîneur espagnol n’a jamais caché sa volonté d’inscrire son nom dans le projet à long terme : « Je n’ai pas grand chose à dire, ça ne m’intéresse pas. J’aime vraiment être ici, mais je ne fais pas de mathématiques. Je me concentre sur le plaisir du quotidien, celui de faire des projets avec les gens du club. Avec Luis, j’ai des contacts quotidiens. Si on ne se voit pas physiquement, on s’appelle. J’ai commencé ce projet avec Luis Campos. C’est avec lui que j’ai fait mon entretien à mon arrivée. Nous ne savons pas ce qui se passera dans le futur, mais très clairement, j’aimerais que ce futur s’écrive avec Luis Campos et toute son équipe, et je n’en doute pas. », a-t-il déclaré. Il a même ajouté dans ce sens : « J’ai une bonne entente avec Luis Campos et Nasser Al-Khelaifi. Aucun joueur n’a été signé que je ne voulais pas. J’espère que nous vivrons beaucoup de choses ensemble. Je suis dans un projet parfait, dans lequel je me suis bien adapté et l’avenir verra. L’équation comporte plusieurs parties. Il est évident que j’aimerais continuer avec Luis Campos pendant de nombreuses années. »

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Sur le papier, tout porte à croire que le natif de Gijón va poursuivre son aventure avec les pensionnaires du PSG. À l’issue de sa première saison, l’ancien sélectionneur de l’Espagne avait remporté les trois trophées nationaux – Ligue 1, Coupe de France et Trophée des Champions – et avait atteint le dernier carré de la Ligue des Champions. Un bilan solide pour une équipe en reconstruction qui a renforcé la confiance de la direction du PSG en lui, au point de lui proposer une prolongation de contrat. Mais depuis, de l’eau a coulé sous les ponts et le PSG semble bien mal en point en C1. Pour rappel, Luis Enrique a perdu 44% de ses matches sur le banc avec le PSG dans la plus importante compétition européenne (7/16), soit le taux de défaites le plus élevé pour un entraîneur du club parisien dans la compétition sous QSI. Les Rouge et Bleu ont également perdu 5 matches dans la même année civile en Coupe d’Europe pour la première fois de leur histoire. Avec 4 points pris en 4 matchs, ce début de campagne représente aussi le pire début de campagne du club en Ligue des Champions depuis l’arrivée du Qatar. Une terrible désillusion qui pourrait peut-être changer la donne ?

Nasser Al-Khelaïfi a tranché !

A deux jours d’un match décisif face au Bayern Munich en Allemagne, le président du PSG Nasser Al-Khelaïfi : « ce n’est pas vrai, ce n’est pas vrai du tout. J’ai dit l’année dernière que nous construisions une équipe et que nous avions le temps. Nous ne sommes pas pressés. Je suis très heureux et très fier aujourd’hui de notre équipe du Paris Saint-Germain. Luis Enrique est ici, avec nous. Aujourd’hui, si on regarde les statistiques, nous avons les meilleurs en attaque. On a les joueurs, il faut juste un peu de chance aussi, et avec du travail, je suis convaincu qu’on y arrivera », a temporisé le dirigeant qatari. En Ligue des Champions, le PSG réalise en moyenne 21 tirs tentés par match, soit le deuxième taux le plus élevé de la compétition – pour seulement deux buts inscrits dans la rencontre (trois en comptant le CSC de Paulo Gazzaniga à Gérone). Ce manque d’efficacité inquiète supporters et journalistes, mais dans les hautes sphères parisiennes, la confiance est maintenue. Ce n’est pas la première fois que les dirigeants parisiens réaffirment pleinement l’optimisme placé chez l’Espagnol.

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Une nouvelle sortie médiatique de NAK qui renforce la position de Luis Enrique. Quelques jours plus tôt CMRNasser Al-Khelaïfi avait déjà déclaré : « nous ne changerons rien. Je l’ai dit, nous avons beaucoup de confiance en notre entraîneur. Il fait du très bon travail avec Luis Campos. La Ligue des Champions n’est pas un objectif. Mais je veux dire une chose, nous jouons chaque match pour le gagner. Mais ce n’est pas le but d’exercer cette pression. Nous avons une équipe jeune. Nous devons être réalistes. Nous n’avons pas non plus eu de chance avec le tirage au sort. Mais c’est le football. On peut faire des erreurs, on ne peut pas tout faire parfaitement. Nous avons besoin de critiques. Nous nous regardons dans le miroir. Si vous me critiquez pour que nous puissions être meilleurs, je vous écoute. C’est le foot. Mais aujourd’hui, notre stratégie s’inscrit dans la durée. Nous avons une équipe jeune, nous ne sommes pas pressés, nous faisons confiance à Luis Enrique, à son style. » Tout se passe bien dans le meilleur des mondes possible, donc pour Luis Enrique et ses dirigeants.