« Je vais peut-être à contre-courant, mais je veux rester positif. C’est pourquoi ce match à Nantes n’est pas pour moi un match de peur, mais un match d’espoir. Aujourd’hui, le HAC ne se débrouillera qu’avec cet entraîneur, qu’avec ce groupe. Il n’y a pas de choix. Tout le monde est contre nous, personne ne nous aidera, et se dire que nous allons nous en sortir seuls est peut-être la chose la plus forte en termes de solidarité. J’aime ce défi. Digard est intervenu pour aider, sachant qu’il devrait se contenter de ce qu’il avait, sans recrue. Et aujourd’hui, il est sifflé ! Mais comment peut-on siffler un gars comme ça ? Il est de La Cavée, il vient nous sortir du pétrin car Elsner est parti, laissant tout le monde dans le pétrin. Il ne mérite pas ça. estime ce chef d’entreprise de 47 ans.
“Ça ne sert à rien de pleurnicher”
« Comme on n’a pas d’argent, il faut se dire qu’il n’y a rien de plus beau que de se battre face à l’adversité. Cela ne sert à rien de pleurnicher, vous devrez faire un effort supplémentaire avec ce que vous avez et les soutenir jusqu’au bout. Peut-être même jusqu’à la dernière minute du dernier jour. Leur tirer dans les pattes aujourd’hui, je n’en vois vraiment pas l’intérêt. Il reste huit matchs à gagner ! Alors OK, offensivement, ce n’est pas ça. Maintenant, cela ne nous a pas empêché de battre Saint-Étienne, Auxerre et Montpellier. Et franchement, on ne peut pas avoir tous les malheurs du monde sans que cela commence à nous arriver à un moment donné. »
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