Vu et lu sur le PSG dans la presse française ce lundi 18 novembre 2024. L’équipe de France termine sur une bonne note avec son succès en Italie (1-3), la prestation terne de Randal Kolo Muani, Vitinha nouveau maestro du Portugal…
Dans l’édition d’aujourd’hui, L’équipe se concentre sur la victoire
l’équipe de France parement
Italie (1-3) pour son dernier match de
Ligue des Nations. Une réussite qui permet aux hommes de Didier Deschamps de terminer premiers de leur groupe et ainsi être têtes de série au tirage au sort des quarts de finale ce vendredi 22 novembre. Portés par la solidarité et une grande solidité sur coups de pied arrêtés, les Bleus ont su s’imposer à San Siro. Le France
a rendu son rival italien après sa défaite 1-3 en Parc des Princes en septembre dernier.
» Ainsi ressort le résultat le plus significatif pour les Bleus depuis l’euromais pas leur meilleure adéquation, à moins de redéfinir les critères. Car ils n’ont pas ajouté d’efficacité à leur qualité de jeu : ils n’ont fait qu’ajouter des coups de pied arrêtés à leur impuissance offensive. Marquer trois buts avec 0,39xG, il faut le faire, et l’équipe de France l’a fait, porté par le pied gauche de
Lucas Dignele chef deAdrien Rabiot et sa supériorité historique et insolente sur les coups de pied arrêtés. »
Les Tricolores ont été suffisamment forts pour bien défendre face à des Italiens assez médiocres offensivement, avec seulement des frappes de
Nicolas Barella (9ème) et Cambiaso
(69e), puis un arrêt décisif de Mike Maignan parement Moïse Kean dans les arrêts de jeu (90e+4),
« qui était le résultat des incroyables indolences de
Bradley Barcolaest très mal entré en jeu. En face, les attaquants français n’ont pas non plus brillé dans le jeu. « Marcus Thuram
combattu généreusement mais loin du but, Nkunku
fait peu de différence dans les trente derniers mètres, et
Randal Cole Muani aura arpenté le côté droit avec obstination mais sans éclairs, et c’est un thème trop fort de l’année 2024 pour être minimisé au prétexte de cette large victoire”remarques LE.
- Randal Cole Muani (3/10, L’équipe) : Son envie n’est pas en cause, sa propension à bien faire les choses davantage. Le Parisien n’avait pas beaucoup de ballons à négocier et il ne savait qu’en faire, bien tenu par Dimarco. Sanctionné à trois reprises pour des fautes évitables, il a également été averti pour un geste colérique (44e).
Le quotidien sportif souligne également l’importance prise par Vitinha avec le Portugal. Auteur d’une entrée décisive face à Pologne
(5-1), au milieu du PSG joue depuis plusieurs mois un rôle de leader en sélection. Depuis
l’eurole numéro 17 des Rouge & Bleu a gagné sa place au milieu de terrain du Sélection Quinasmalgré un exercice 2024-2025 décevant avec le club parisien. » Une situation inverse par rapport à la saison dernière, où le milieu de poche (1,72 m) était étincelant en club sans bénéficier d’un statut de titulaire en sélection. » Son absence au coup d’envoi du dernier match contre le Pologne
C’était une anomalie et cela s’est ressenti dans le jeu des Portugais lors d’une première période insipide avec un match nul et vierge. Mais l’entrée en jeu du Parisien à la pause change la face du match.
Il a d’abord provoqué un penalty avant de délivrer deux passes décisives pour Bruno Fernandes et
Cristiano Ronaldo. » Au-delà de ses apports décisifs, le numéro 23 portugais a une nouvelle fois affiché ses qualités de relance sous pression et de projection. Bien placé et disponible, il s’impose comme la principale rampe de lancement des offensives portugaises, sa capacité à casser les lignes par la passe permettant à la fois d’exploiter la vitesse de
Rafael Léão et combiner avec
Fernandes et Bernardo Silva »souligne LE. En 45 minutes, Vitinha a touché 78 ballons et sur ses 71 passes, 25 ont été tentées dans le dernier tiers du terrain. A 24 ans, au milieu de PSG incarne l’avenir de
Portugal et il devrait être présent ce lundi pour affronter le Croatie dans ce dernier match de
Ligue des Nations.
De son côté, Le Parisien revient également sur la victoire de
l’équipe de France parement
Italie (1-3) ce dimanche soir. Après une performance décevante contre Israël (0-0), les Bleus étaient attendus pour terminer l’année 2024 en beauté. « Il paraît que chez eux, la vengeance est un plat qui se mange froid le soir. Didier Deschamps a bénéficié d’un ticket improbable Digne-Rabiot pour remettre son peuple en pleine lumière. Ils redeviennent quarts de finalistes qui accueilleront le match retour en mars et seront à nouveau redoutés. » Les Français ont pu compter sur un but de la têteAdrien Rabiot dans un coin
Lucas Digne. L’ancien latéral parisien décoche ensuite un sublime coup franc trouvant la barre puis l’arrière de
Guillaume Vicaire. En seconde période, le duo gagnant Digne-Rabiot a encore frappé sur coup de pied arrêté.
Si l’attaque française souffrait encore d’automatismes et de combinaisons, elle était au moins à la hauteur mentalement et physiquement. L’impact de Cône à main au milieu de terrain était également important. Après quelques sélections, au milieu de l’AS Rome «montre déjà plus queÉdouard Camavinga ou Warren Zaïre-Emerydeux compétiteurs du cœur du jeu dans un registre différent. » L’équipe de France
a également fait preuve d’une grande solidarité défensive San Siro. Elle a notamment pu s’appuyer sur la profondeur et les transitions rapides de ses attaquantes. « Sans briller à l’usage, Marcus Thuram ressemblait souvent à un bulldozer capable de dynamiter la défense italienne tandis que Randal Cole Muaniun peu plus inspiré que le buteur de l’Intera également créé du désordre derrière. » Sans impressionner dans le jeu, le
France Pourtant, l’année 2024 se termine sur une très bonne note. « Ils terminent l’année en rappelant qu’ils maintiennent des attitudes et des joueurs de très haut niveau, ponctuels dans les grands événements et capables de rebondir (surtout mentalement), qu’ils sont unis derrière leur coach et que lui il faudra encore compter sur eux pour un peu plus longtemps en 2025”conclut le quotidien francilien.
- Randal Cole Muani (5/10, Le Parisien) : « Invité surprise du onze de départ, à la place de Comanle Parisien a pu bénéficier d’un peu plus d’espace sur l’aile droite. Il a montré qu’il avait le potentiel pour certaines percées, qui ne se sont pas toujours révélées payantes. On regrettera quand même son manque de tir dans ce match. »
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