Thomas Siniecki, Media365: Publié le lundi 27 janvier 2025 à 11 h 07
Ce serait un transfert majeur pour la femme qui a terminé septième dans le dernier classement du ballon d’Or.
Les ennuis s’accumulent au Saint-Germain des femmes, et pas le moindre. Après le célèbre cas de Grace Geyoro, qui a finalement été réintégré à l’équipe, Marie-Antoinette Katoto est à la fin de son contrat et ne devrait même pas provoquer ce type de débat la saison prochaine, car elle ne sera plus là. C’est ce que nos collègues du Parisien confirment, notant un départ à venir après quatorze ans de collaboration (depuis 2011). L’attaquant de l’équipe française, le meilleur buteur de Paris 2024, a été formé au PSG et n’a donc pas encore connu une autre équipe au cours de sa carrière, étant arrivée à l’âge de douze ans. dans le Capital Club (de Colombes) et reste un joueur plutôt jeune à 26 ans.
-“Ma décision ne changera pas”
La situation s’est détériorée depuis 2022, lorsque le club n’a pas payé les commissions attendues pour ses ex-agents, un différend toujours en cours (et en cour). Les deux étés suivants, en 2023 puis 2024, les départs successifs de Kadiatou Diani alors Tabitha Chawinga d’OL auraient terminé les ambitions du PSG. “Ma décision a déjà été prise et cela ne changera pas”, a-t-elle déclaré à l’AFP fin novembre, sans préciser quelle décision il s’agissait, mais tout le monde semble avoir compris.
Aucune négociation n’a commencé depuis lors, et le directeur sportif Angelo Castelllazi avait également déjà averti en octobre (pour Le Parisien): “Le discours ne bouge pas, nous avons besoin de la volonté de rester à Paris et d’être heureux là-bas.” Et sans surprise, Katoto veut faire comme Kadiatou Diani et Tabitha Chawinga, c’est-à-dire rejoindre l’Olympique Lyonnais. Jamais deux sans trois, le PSG buvait le calice à la lie en laissant son étoile offensive partir pour une troisième année consécutive avec le grand concurrent. Assez pour élargir un peu plus loin l’écart, tandis que les Rhodaniennes ont déjà une avance de huit points à peine après la mi-saison (le Paris FC, deuxièmement, est même en avance sur le PSG) et sont les seuls représentants français de la Ligue des Champions.