Fin octobre, le tribunal de commerce a estimé disposer de garanties suffisantes pour autoriser la poursuite des opérations jusqu’au 30 janvier 2025. Une décision rendue possible notamment par l’affacturage d’une facture restant à encaisser sur la vente de Zuriko Davitashvili à Saint-Étienne et par la collecte d’une partie du pourcentage négocié sur le transfert de Jules Koundé.
Lopez va devoir le remettre dans la marmite
Mais la DNCG se penche sur l’ensemble de la saison. Et il faudra une contribution financière de Gérard Lopez pour boucler le budget. L’été dernier, à l’ouverture du redressement judiciaire, l’actionnaire a injecté un million d’euros. Selon son avocat Laurent Cotret et l’administrateur judiciaire qui suit le club, tous deux cités dans le jugement du 29 octobre, il compte bien réitérer l’opération d’ici la fin de l’année civile.
L’homme d’affaires est toujours à la recherche d’investisseurs mais le dossier ne risque pas d’avancer tant que la dette du club (estimée à 118 millions d’euros début août par le tribunal, mais inférieure à ce chiffre selon l’entourage de Gérard Lopez) n’aura pas été sensiblement réduit. Les négociations avec les créanciers devraient commencer très prochainement.