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«Quand mes filles entendent…»

Par Shad De Bary

Publié
19 janvier à 11h00,

mis à jour 19 janvier à 11h22

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La duchesse de Savoie remonte sur scène. Au théâtre dès le 23 janvier, Clotilde Courau en profite pour revenir sur son parcours, ses choix et leurs conséquences, dans les pages de Dimanche à la Tribune ce 19 janvier.

Au théâtre pour La vérité par Florian Zeller dès le 23 janvier, Clotilde Courau redécouvre ses premiers amours : les planches. A cette occasion, l’actrice et la duchesse de Savoie se sont entretenues avec Dimanche à la Tribune ce 19 janvier, sur sa carrière qui dure depuis près de quatre décennies. L’actrice revient notamment sur une de ses expériences : son rôle dans La Poulpe, de Guillaume Nicloux, sorti en 1998. A l’époque, l’actrice se mettait nue devant la caméra. Un choix sur lequel elle revient volontiers : «J’étais déjà adulte et je ne regrette rien.

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Aucun regret, sauf peut-être un, explique-t-elle : «Par contre, quand mes filles apprennent que leur mère a joué dans un porno, ce qui est totalement faux car ce n’était qu’un film libertaire, c’est un tout autre débat !« Face à cette incompréhension, l’épouse d’Emmanuel-Philibert de Savoie avoue « ressentir une forme de culpabilité« à l’idée d’embarrasser Vittoria et Luisa. Pleine de sagesse, Clotilde Courau conclut sur cette question : «Chaque action a une conséquence à un moment ou à un autre.« Après des décennies de carrière, la comédienne a accumulé des enseignements qui devraient s’avérer très précieux. En effet, sa fille aînée semble suivre son chemin et se diriger à son tour vers le cinéma.

PHOTOS – Wedding of Emmanuel-Philibert de Savoie and Clotilde Courau: relive the event in pictures

“J’ai mangé pour essayer de calmer mes angoisses” : Clotilde Courau se confie sur son expérience de la boulimie

Si elle ne regrette pas d’avoir vu son corps à l’écran, Clotilde Courau n’a pas toujours été tendre avec elle-même. Le mécène de la Fondation pour la Recherche Médicale accorde une attention particulière aux pathologies psychiatriques. Elle s’exprime ensuite sur cette cause qui lui tient à cœur dans Dimanche à la Tribune : “Nous avons tous des dépressifs, des personnes bipolaires dans notre famille… J’ai moi-même souffert de boulimie pendant une bonne partie de mon adolescence.« Elle se souvient alors : »J’ai mangé, mangé, mangé pour tenter de calmer mes angoisses.« De manière rassurante, elle affirme avoir combattu ce trouble du comportement alimentaire : »J’ai réussi à contrôler ces pulsions dévastatrices pour mon corps.

Article rédigé 6Medias.

 
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