Une représentation réaliste du chanteur au sommet de son charisme, lors du concert qu’il a donné pour son cinquantième anniversaire au Parc des Princes.
L’installation de la statue (financée par la municipalité) est le fruit d’une collaboration entre la Ville et les motards du Desperados HDC, le club fondé par Johnny et son ami Jo Rodriguez au début des années 1990.
Depuis l’installation de la statue, des admirateurs de « l’idole des jeunes » viennent parfois de loin place du Galoubet (rebaptisée du nom du chanteur, suite à un vote du conseil municipal) pour admirer l’œuvre.
La première plaque était temporaire
L’objectif de créer un lieu de pèlerinage pour les fans de l’artiste semble sur le point d’être réalisé. Pourtant, à l’automne dernier, certains Fréjusiens ont été surpris par l’apparition de la plaque apposée au pied de la statue. Sur celle-ci, le nom du maire de Fréjus était inscrit en grosses lettres. C’était bien plus lisible que ceux du sculpteur… Et de Johnny lui-même. Récemment, la plaque a été remplacée.
La nouvelle plaque redonne à Johnny ce qui appartient à Johnny. Son nom est donc écrit en haut, en grand. Apparaissent également celles de David Rachline, Olivier Delobel et Jo Rodriguez.
Mais alors, pourquoi avoir remplacé cette plaque si peu de temps après sa pose ? A-t-il été dégradé ? A-t-il été volé ? Ou la municipalité a-t-elle décidé de corriger la situation pour éviter d’éventuels ridicules ?
Rien de tout cela, selon Pascal Dufour, le secrétaire international de Desperados HDC : « La réponse est très simple. La première plaque n’était qu’une plaque provisoire destinée à être remplacée par une autre, définitive. Tout cela était très clair dès le départ, y compris dans le cahier des charges.
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