Le fameux buzz (Viviane) est passé, mais le torchon brûle toujours entre l’artiste Maalhox et tous ceux qu’il côtoie pour avoir joué un sale tour à l’artiste Prince Aimé.
Sur Facebook, l’artiste auteur du hit « ça sort comme ça sort » a fait de nouvelles révélations impliquant le nom de Debordo Leekunfa dans une story liant Waxdey.
“En déclarant dans une émission en direct que vous aviez donné l’autorisation verbale à Debordo en tant qu’éditeur de publier la chanson et que vous avez quand même bloqué le son sur YouTube
Même Debordo peut vous poursuivre en justice pour non-respect de vos engagements et sabotage et vous risquez de payer très cher les dommages qui lui sont causés.
Mon frère Waxdey sait que ce n’est pas parce que tu as duré sur les bancs que tu es sage ; tout cela risque de retomber sur vous et sur vous seul, Monsieur le Rédacteur », Le Cameroun a bien publié.
Le message n’est cependant pas passé inaperçu auprès de l’Ivoirien Hassan Hayek qui en a profité pour faire passer le message. Ce dernier, contre toute attente, a pris le temps de corriger les erreurs contenues dans la publication de Maalhox.
«Comme (dans le temps). Poursuivre (poursuite). Vous risquez (je risque, vous risquez, il ou elle risque, nous risquons, vous risquez, ils risquent). Lorsque vous aurez terminé, dites-nous qui a gagné afin que nous puissions nous en occuper ! “, a commenté Hassan Hayek.
Une réaction nerveuse que le Camerounais n’a pas du tout apprécié. « Hayek Hassan tu as vraiment raté ta vocation car tu t’es trompé de nationalité tu aurais dû être professeur à la Sorbonne mais hélas te voilà en Côte d’Ivoire réduit à corriger des fautes de français sur Facebook pour quelques likes Comme si les réseaux sociaux étaient devenus un concours de dictée »» démontra Maalhox.
Pour rappel, la tension entre Maalhox et les Ivoiriens est née du remix par Debordo de la chanson « Viviane » du Prince Aimé qui n’a malheureusement pas abouti comme prévu.
Depuis, la concurrence fait rage entre les deux camps. Maalhox, l’un des acteurs clés de cette collaboration, multiplie les sorties en accusant les artistes d’avoir joué au détriment de l’auteur original de la chanson.
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