« Mon sang était infecté » – Les révélations chocs de Philippe Katerine

Philippe Katerine a évoqué dans Clique un gros problème de santé qu’il a eu l’année dernière. Et cela aurait pu coûter la vie au chanteur.

Philippe Katerine semble toujours de bonne humeur nonchalante. Mais il ne faut pas se fier aux apparences. Le chanteur de Louxor, j’adore a vécu des moments difficiles qui l’ont fait « craquer ».

Invité de Mouloud Achour dans l’émission Clique de Canal+, celui qu’on a vu tout bleu et nu en Dionysos lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris, était bleu de peur cet automne. La cause de son inquiétude : une crise de colique néphrétique qui a failli tourner très mal.

Alors qu’il était en pleine concentration pour écrire son album Zouzou, une “semaine après (l’écriture de la chanson Chez Philou), j’étais au billard, car j’avais des calculs rénaux”, raconte-t-il. Pourtant, cette opération en apparence simple s’est transformée en drame pour Philippe Katerine.

« En fait, mon sang était complètement infecté, alors j’allais déménager complètement dans le grand pays blanc. J’ai subi une opération chirurgicale d’urgence, j’allais y aller. Vous n’êtes pas obligé de traîner, car mon sang est totalement infecté. Après, ils ont mis une sonde pour tout nettoyer », a-t-il expliqué.

L’opération s’est bien terminée, mais elle a rappelé au chanteur de La Banane de mauvais souvenirs d’enfance. Il avait « touché la mort » et avait dû être opéré à cœur ouvert à cause d’un trou de la taille d’une pièce de cinq francs, comme on disait à l’époque. « Et ils l’ont bourré de peau de porc », a-t-il déclaré dimanche à La Tribune. Cela l’a longtemps secoué, jusqu’à ce qu’il découvre que l’art lui donne l’envie de vivre.

Aujourd’hui, il y a moins de bouleversements après l’intervention chirurgicale, mais la sombre perspective de devoir se soumettre aux contraintes d’un régime drastique. “Moins de sel, moins de tout”, précise-t-il, ajoutant : “Pas de charcuterie, c’est tout.” Du fromage, pour mon Philippe ? Fini!” Heureusement, il reste encore des bananes…