A son arrivée au palais de Buckingham ce jeudi 19 décembre 2024, pour le déjeuner de Noël en famille, Charles III semblait plutôt en forme. Même si ses traits sont un peu plus définis et que sa silhouette semble flotter dans son manteau. L’homme de soixante-seize ans reste ce patient qui lutte contre le cancer. Digne. Ses activités, sa bonne humeur et sa disponibilité nous font parfois oublier qu’il est malade et qu’il continue de prendre soin de lui, comme un reporter de Nouvelles du ciel.
Rhiannon Mills est une journaliste fiable. Le correspondant royal de la Manche est même connu pour avoir la confiance des Windsor. Une de ses sources lui aurait déclaré : « Son traitement évolue dans un sens positif et il devrait le poursuivre l’année prochaine ». Une forme « d’optimisme » entourerait sa réaction face aux soins, et ses proches en donnent pour preuve son emploi du - surchargé.
Mais, selon cette même source, c’est aussi un homme qui “s’il a quinze minutes dans son agenda, il trouvera de quoi faire pour les remplir”. L’hyperactivité de Charles III n’est pas un secret. Évidemment, cela peut être vu comme un gage de vitalité. Cependant, l’annonce de la poursuite de son traitement l’année prochaine rappelle également qu’il n’est pas encore guéri. Entre son éternelle insatisfaction professionnelle et le repos nécessaire à son état de santé, le roi devrait trouver un équilibre comme il tente de le faire depuis février. La seule façon de cesser d’inquiéter le royaume.
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