C’est une disparition qui a causé beaucoup de chagrin à Maïwenn. Le 31 mars 2024, elle annonce le décès de Jean-Yves Le Fur, le père de son fils Diego, à l’âge de 59 ans sur ses réseaux sociaux. « L’amour de ma vie, le père de mon fils Diego, le beau-père de ma fille Shanna, est parti dimanche matin dans mes bras et ceux de notre fils, sous la protection de Frédérick son grand frère, et Jaky son ami toujours. Nous sommes tous dévastés.elle a écrit le 2 avril.
Un décès suite à une terrible maladie, puisque l’homme d’affaires, marqué par ses histoires avec Karen Mulder et Stéphanie de Monaco, a succombé à un cancer du pancréas. Depuis, la réalisatrice de 48 ans tente de sensibiliser par tous les moyens à cette maladie qui a emporté le père de son fils. « Cela fait 7 mois que mon mari est décédé d’un cancer du pancréas. C’est un cancer très agressif qui peut toucher n’importe qui. Hommes et femmes, et à tout âge. Aujourd’hui, 21 novembre, c’est la Journée mondiale du cancer du pancréas. Le cancer du pancréas tue déjà 3 fois plus que les accidents de la route !a-t-elle expliqué dans un post Instagram, toujours déterminée à exaucer le dernier souhait de son mari de parler de ce cancer agressif.
Maïwenn dénonce l’attitude des médias à son égard
Ce vendredi 6 décembre, elle revient sur le dernier souhait de Jean-Yves Le Fur dans une interview accordée à Madame Figaro. “Il souhaitait absolument organiser un dîner de charité dans le but de récolter des fonds pour la recherche scientifique.. J’ai donc repris l’organisation de cet événement, mais je me rends compte que c’est compliqué à mettre en place car en plus de l’aspect juridique de ce type d’action, la location d’un lieu coûte cher, et il y a beaucoup de soirées caritatives organisées… Il faut être capable de se démarquer»analyse celle qui a fait une première sortie publique avec son fils à Roland-Garros depuis la disparition de son père en mai dernier.
Et comme elle le regrette, Maïwenn a du mal à faire entendre sa voix dans les médias. « Pour vous donner une idée, J’avais initialement prévu de parler le 21 novembreJournée mondiale du cancer du pancréas, dans un quotidien et une radio. (…) Mais le journal ne m’a jamais répondu et la radio m’a déprogrammé deux foispour enfin diffuser à la place une émission sur les araignées… », » déplore-t-elle aujourd’hui, avant d’ajouter : «Je trouve étrange que les médias ne soient pas plus sensibles même si c’était la Journée mondiale du cancer du pancréas.
Très déçu, celui qui s’est effondré sur le cercueil de Jean-Yves Le Fur pour son dernier voyage, ne comprend visiblement pas l’attitude des médias à son égard.
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