Connue pour son rôle d’Hortense Rochemont dans la série Ici tout commence, Catherine
Davydzenka était un invité sur le podcast Ombres et lumièresce vendredi 29 novembre. L’occasion pour la comédienne de revenir sur ses projets professionnels, sa relation avec son compagnon Stéphane Blancafort, mais aussi son enfance.
Depuis qu’elle est jeune Catherine Davydzenka avoue ne pas se rendre compte de sa beauté naturelle et de ses atouts physiques. “Je n’ai jamais eu conscience de moinous avons un potentiel de séductionmême aujourd’hui», observe-t-elle. Pourtant, à l’école, elle recevait déjà des commentaires. Pas de ses camarades de classe, mais de ses professeurs…
Catherine Davydzenka : son physique lui a posé « beaucoup de problèmes »
Elle explique que son apparence “ça vaut beaucoup d’ennuis”. “Apparemment, les autres en étaient conscients pour moi. Même à l’école, avec mes professeurs,
ça allait très mal. A 12 ou 13 ans, j’ai été convoquée par des professeurs qui me disaient que je devais m’habiller différemment, que je n’avais pas le droit de porter des jupes ou des débardeurs, que c’était excitant. les garçons et qu’ils étaient distraits par ma présence », elle se souvient.
Elle ajoute : «Et je ne comprenais pas pourquoi, car à l’époque je ne connaissais même pas la notion de désir !. Les enseignants ont insisté sur le fait que ses vêtements pouvaient constituer un danger pour elle en dehors de l’école. “Ils m’ont dit que, même moi, je ne m’en rendais pas compte ! Que
J’allais me faire attaquer dans la ruemême si je ne savais même pas ce que cela signifiait. dit l’actrice de 26 ans.
Catherine Davydzenka : « La vision des autres est dure à supporter »
Forte de sa notoriété, Catherine Davydzenka est la cible de nombreuses critiques sur les réseaux sociaux. Des commentaires sur son physique qu’elle essaie, tant bien que mal, d’ignorer. “La plupart du temps, je m’en fiche. Ssauf quand cela génère une injustice toujours aussi incompréhensible pour moi”, elle a lâché.
« Pour moi, la notion de beauté est subjective. Mais, parfois, la vision des autres est dure à supporter, surtout quand on n’a pas la même vision qu’eux ! J’ai eu beaucoup de mal, quand j’étais plus jeune, à comprendre, à me détacher de l’image qu’on voulait me coller, cette sorte de figure de la féminité qui ne me correspondait pas du tout. Mais c’était il y a longtemps !conclut-elle enfin dans le podcast.
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